Pour un peuple accoutumé à la virtuosité de ses meilleurs joueurs et aux victoires morales obtenues par le passé, il est difficile de saisir les avantages d’un style soporifique qui nous permet, au bout du compte, de gagner. Nous qui sommes habitués à bien jouer et à perdre, cette idée de jouer mal et de gagner éveille notre suspicion. Triomphalistes face aux défaites, nous ne savons qu’être défaitistes face à ces victoires. (Lire l’article)