Jamais à court d'idées innovantes, le grand architecte Jérémy Decker propose de débarrasser les cimetières de leurs tombes. Une façon d'en refaire des lieux de vie.
Jadis très présent dans la mer de Chine méridionale, le sponk des mers doit son surnom aux cornes et la queue qui évoquent celles du castor cornutus terrestre.
Un designer et une nutritionniste ont joint leurs efforts pour trouver enfin l’emballage comestible parfait qui règlera une fois pour toutes leur accumulation de plus en plus incontrôlable. Ils y sont presque parvenus. Presque.
Il y a cinquante ans étaient détruits les pavillons Baltard. Malgré la mobilisation internationale, l’irréparable a été commis. Ces merveilles ont été remplacées par l'auvent le plus cher du monde. Ainsi va le monde et c’est à pleurer.
Astra et Zénéca saines et sauves, mais perdues en conjectures. À Lourdes, installation de canons à vierge. Lapsus du Premier ministre. Annulation des JO 2024 : le dossier avance. Nouvelles mesures en faveur (?) des théâtres. Interdiction de la drague à la glu...
Qui ne connaît le grand chef d'orchestre Jacques Ouphaine ? En revanche, on connaît moins le compositeur et à quel point il est aussi un immense trompettiste.
[Beaux livres] Il est rare que les éditions Pharidon s'éloignent des sentiers battus. Pourtant, le livre qu'Olga Selzer vient de consacrer à Iphigénin Plomp. Un peintre allumé du Siècle des Lumières mérite d'être salué.
Un accord inattendu a été trouvé entre l’Église et les producteurs de films. Les lieux de culte étant ouverts, contrairement aux salles obscures, l’Église de France va diversifier ses activités.
Toujours à la pointe de l’actualité, nous diffusons en exclusivité mondiale un premier bilan très complet — daté du 31 janvier 2021 — de la vaccination massive effectuée en Grande-Bretagne.
Faits divers, carnets mondains, nécrologies, publicités, concours, enquêtes, potins et autres bruits du monde, sans oublier quelques calembours douteux ou contrepèteries vaseuses... mais toujours en bref.
Beaucoup de fausses informations circulent à propos de l'efficacité des masques face à la pandémie de covid-19. Il nous a paru utile de faire le point.
Pied de nez supplémentaire aux défenseurs de la planète, une nouvelle marque d'automobiles vient de voir le jour aux États-Unis. Immédiatement saluée par un tweet présidentiel : Make AMERICAN CARS great again!, cette marque ne fabriquera que des hummers.
Une conséquence surprenante et inattendue de l’épidémie de Sars-Cov-2 est l’apparition de nouveaux prénoms. On ne compte plus les Covid et les Corona en passe de détrôner les Gabriel, Léo, Arthur pour les garçons, Emma, Louise, Alice pour les filles.
Certains s’étonnent de la lenteur avec laquelle les bulletins de vote sont dépouillés, dans un pays à la pointe de la technologie et de l’informatique. Nous avons voulu en savoir davantage...
Depuis l’annonce de la fermeture des librairies et des bibliothèques, des initiatives souterraines se multiplient pour permettre aux addicts de la lecture de s’adonner à leur passion.
C'est une expérience originale qui va être tentée en France afin d'atteindre au plus vite l'immunité collective face au coronavirus et ne pas laisser traîner en longueur une situation qui nous empoisonne – au sens propre et au figuré.
Qui n'a pas été sur le point de jeter par la fenêtre la souris d'un fils jouant frénétiquement à Animal Crossing sur son ordinateur? C'est ce que vient de faire un père excédé par ces "clics diaboliques". Et il ne s'est pas contenté de défénestrer la souris...
À la campagne comme à la ville, les conflits se multiplient. En cause, des nuisances sonores à n'en plus finir. Pourtant, des solutions sont possibles. Quelques bricoleurs ingénieux l'ont prouvé.
La reconnaissance faciale étant rendue quasiment impossible par le port du masque dans les lieux publics, certaines municipalités vont rendre le obligatoire le port de masques personnalisés.
Qui, dans les salles, obscures, n'a jamais ressenti de violentes pulsions de meurtre et une irrépressible envie de passer à l'acte ? Débarrasser l'humanité de ce voisin fourrageant dans un véritable conteneur XXL débordant de ces infâmes pop-corns !
Une décision historique vient d'être prise après d'âpres négociations entre la fédération internationale de tennis de table et plusieurs associations luttant contre les nuisances sonores.
Après la réouverture des écoles, Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, a déclaré que le 22 juin serait désormais la date officielle de la rentrée scolaire.
Que deviennent les fins d'articles régulièrement annoncées en page 12 ? À la demande générale, nous les publierons tout aussi régulièrement... mais en ordre dispersé. Notre lectorat exigeant voudra bien nous en excuser.
N'avez-vous jamais été ulcéré par ces boutons placés sur les poteaux de certains feux rouges, censés arrêter la circulation afin que vous puissiez enfin, au terme d'une attente interminable, traverser la chaussée ?
Le 2e tour des municipales aura lieu en juin, si tout va bien. À défaut d'adopter le vote électronique et pour conserver le lien entre les électeurs, le gouvernement a proposé une autre forme de scrutin : le vote en drive-in.
C'est une nouvelle vague d'une toute autre nature et de très grande ampleur qui nous attend en fin d'année. Il serait de plus en plus question d'imposer une “distanciation sociale” entre conjoints pendant une période indéterminée.
Présent dans tout le nord-est de la Chine, plus rare que son cousin le hokki brun, dont il partage le territoire, il s'en distingue par les longues plumes auxquelles il doit son nom, mais surtout par son double langage.
Cet oiseau n'a qu'un partenaire durant toute son existence et c'est Madame qui dépose dans les minuscules alvéoles du chef de son conjoint le précieux humus destiné à l'embellir. La suite est un bel et triste exemple d'amour conjugal...
Ce phasianidé dodu au plumage chatoyant ressemble beaucoup à notre dindon domestique. Il s'en distingue toutefois par sa large queue rigide, toujours déployée, et par son cou vrillé qui prend un tour supplémentaire chaque année.
À l'inverse de la mante religieuse, le mâle rhinolophon mange sa femelle après l'accouplement, ce qui est peu favorable à la perpétuation de l'espèce. Circonstance aggravante : les femelles épargnées se nourrissent de leur progéniture.
Cet oiseau rare est l'image de la tristesse. Il se déplace lentement, traînant devant lui son bec interminable. C'est le seul oiseau coureur qui soit à la fois inapte au vol... et à la course !
Ces oiseaux passent le plus clair de leur temps à jouer. À tour de rôle, ils se mettent à courir en battant des ailes. L'un deux parvient-il à décoller, il retombe lourdement sur la banquise au grand amusement de ses congénères.
À la course contre le guépard, le babouin véloce est toujours vainqueur. Ce cercopithèque se plaît ensuite à se moquer de ses adversaires malheureux. Il rit, il rit, d'un rire assez déplaisant.
Une aquarelle signée Iphigénin Plomb représente un mbetteel. Son authenticité n'est pas plus avérée que l'existence de l'animal représenté. C'est donc avec toutes les réserves d'usage que nous en publions le dessin.
Curieuse conséquence d'un confinement respectant un peu trop strictement les gestes barrière : dans le XIIIe arrondissement de Paris, une femme s'aperçoit soudain qu'elle n'est pas confinée avec son époux mais avec un autre homme...
Il se distingue des autres capitonidae par une longue queue préhensile dont il se sert pour se balancer sous les branches. Elle lui est aussi utile en vol, pour éloigner les prédateurs. C'est le seul oiseau doté de ce genre de queue.
Ouvrant une brèche de quelques coups de griffe rageurs, il introduit dans les termitières son interminable trompe et aspire bruyamment les pauvres isoptères sans défense. Tous y passent, du plus petit soldat jusqu'au couple royal.
Peur ou timidité ? Le larus decapitus rentre instantanément sa tête quand il est dérangé. Comment parvient-il alors à se diriger et à s'envoler ? Avec de la patience et aussi beaucoup de chance.
Aujourd'hui disparu, il était doté d'un groin très développé que l'on a nommé à tort trompe. Son nom lui est resté. Un rare spécimen naturalisé était conservé dans les précieuses collections du Muséum d'Histoire naturelle de Paris. Hélas...
Excellents nageurs et pêcheurs, ces oiseaux aujourd'hui disparus ne se contentaient pas d'attraper des poissons pour leur propre subsistance, mais en pêchaient aussi pour les pon-pon dont ils partageaient le territoire.
Imaginez une crique envahie par des algues rouges agitées de mouvements engendrés par quelque courant marin... ou par un banc de poissons nageant à proximité. À moins qu'algues et poissons ne soient qu'une seule et même entité.
Ce curieux tatou à trompe est apparu si furtivement à son dessinateur que celui-ci a dû le représenter de mémoire. C'est, du moins, ce qu'il prétend, car d'aucuns sont convaincus que ce dasypus fantaisiste n'est autre qu'une mystification.
Ces oiseaux sont très joueurs. Les mâles surtout : ils consacrent une grande partie de la journée à glisser à plat ventre sur la glace en déployant la crête qui leur sert de voile, sous le regard amusé des femelles à la coiffure plus modeste.
Ses longues plumes à l'arrière de la tête ne permettent pas d'apprécier de loin dans quelle direction se porte son regard. La nature l'a-t-elle doté d'un leurre destiné à tromper d'éventuels prédateurs ? Il possède une faculté étonnante : il peut voler à reculons.
Cet insecte chimérique résulte du croisement d'un énoplocère tueur et d'un scarabée fourchu. Il est né non pas dans la nature mais du talent d'un artiste marin, passionné de la faune et de la flore, qui parfois se livra a quelque facétie.
Ce crustacé d'une longévité exceptionnelle s'allonge de mue en mue, à la manière d'une anamorphose optique. Au fil des ans, la carapace des lupées s'assombrit et s'orne de motifs toujours plus nombreux. Dommage que sa chair soit si fade.
La femelle est d'un vert éclatant. Chez le mâle, les plaques écailleuses semblent animées par des reflets cuivrés toujours changeants... Ce bel insecte doit son nom au cercle parfait qui orne sa tête aux yeux d'un rouge vif.
On peut apercevoir sa silhouette dentelée sur l'île volcanique de Peuouprou, où la chair de sa queue est particulièrement appréciée, bien plus encore que celle de la langouste. Le goûter, c'est l'adopter !
Les annulations d'événements sportifs et culturels pleuvent depuis deux mois. Et pas seulement en France ou en Europe. Sur la côte ouest du Mexique, la fermeture des fameuses caracoladas prive les aficionados de leur compétition favorite.
L'escargot coureur du Mexique est le gastéropode à coquille le plus rapide de toutes les espèces connues. Avec sa coquille allongée, il semble taillé pour la course. Des compétitions sont régulièrement organisées sur la côte ouest du Mexique.
De la même famille que le caméluche. Comme lui, il laisse les femelles s'occuper de leur progéniture et de la recherche de nourriture. Il ne fait rien de ses journées. Son sourire laisse penser qu'il n'est pas mécontent de son sort.
Contrairement à ce que son nom pourrait laisser entendre, le cacophonès a l'oreille absolue. Grand imitateur des voix humaines, il possède un talent exceptionnel pour le chant et une mémoire confondante. Son registre semble infini. Son cou également.
Aucune violence chez ce serpent insectivore qui se contente d'étouffer lentement et en douceur le mammifère qu'il débarrasse ensuite de ses tiques et autres parasites. Seule entorse à ce régime : il suce parfois le sang de l'animal qu'il vient ainsi de soulager... définitivement.
Lointain cousin du zébu, le bizub se distingue de ce dernier par sa deuxième bosse. Graisseuses, elles lui servent de réserve calorique, se gonflent à la saison humide, dégonflent à la saison sèche. Comestibles, elles sont prisées en pot-au-feu.
Il se distingue de l'éland du Cap par sa spectaculaire encolure, qui évolue avec le temps : avec un nouveau pli chaque année, celle-ci s'allonge et blanchit au fil du temps, contrastant chez les plus vieux mâles avec la couleur sable de son poil ras.
On sait que beaucoup de lacertidae, face à un prédateur, se coupent une partie de la queue, au lieu de perdre la vie. Leur queue repousse alors. On appelle ce phénomène l'autotomie. Chez les lacerta devorator, le mâle se nourrit exclusivement de sa propre queue.
Si, en plein désert, au terme d'une longue marche nocturne, vous apercevez, au pied d'une dune, une sorte de talus herbeux, méfiez-vous... vous allez peut-être déchanter. Certains vous raconteront qu'ils ont vu le talus se disloquer et laisser place à un groupe de hyènes hirsutes.
On connaissait le pop-art, le op-art, le land-art... voici maintenant le PQ-art. Certaines œuvres s'arrachent à prix d'or. Pour éviter une contamination par contact des poignées, la mairie de Paris envisage d'imposer l'ouverture de toutes les portes...
Espèce inconnue ou aberration génétique ? Ce curieux pleuronectiforme nage de façon erratique, tournant sur lui-même ou bien changeant souvent et soudain de direction, comme s'il avait heurté un mur, n'en faisant qu'à ses têtes. Une belle énigme de la nature...
Méfiez-vous si ce poisson mord à l'hameçon. Il est un pêcheur aguerri qui ne se méfia guère et fut piqué par un de ses deux aiguillons vénéneux. Leur piqûre peut être mortelle et l'on aura beau désinfecter la plaie ou aspirer le venin, rien n'y fera. Notre homme s'en tira avec une bonne frayeur.
Seul poisson tetraodontiforme uniforme, il se distingue des autres membres de la famille des Ostraciidae par ses longues nageoires qui lui permettent de planer quelques secondes hors de l'eau, ainsi que par la corne sur le devant de sa tête.
Aussi bête qu'un sponk, plus prétentieux qu'un lamagal, il mérite les attributs qui lui sont couramment consacrés : faraud, poseur, fat, crâneur, outrecuidant... Regardez-le donc parader sur la banquise avec cet air hautain qui ne le quitte jamais, déclenchant l'hilarité des pons-pons.
Mode d'attaque imparable que celui de cet étonnant cnidaire: il nage près de la surface, repère sa proie, enroule ses tentacules puis les détend dans un mouvement giratoire qui le propulse hors de l'eau. Il ne lui reste qu'à planer grâce à son ombrelle en forme de cloche.
Cet échassier dépourvu d'échasses demeure un mystère pour les ornithologues. Ces derniers se perdent en conjectures sur les raisons qui le poussent à faire des nœuds avec son cou. Des nœuds pour ne pas oublier ? Mais quoi donc ? À moins que...
Les voyageurs ayant eu la chance de croiser sa route rapportent que le crocomore n'a manifesté ni crainte ni agressivité à leur approche. Plus d'un se rappelle néanmoins avoir entendu un rire souffreteux, asthmatique, un “rire sous cape” laissant une impression fort désagréable.
Ce curieux batracien à l'expression hideuse vit dans les eaux sombres de la zone marécageuse de l'île de Takatitakité. Ses cris de crécelle rendent les hommes qui la croisent particulièrement nerveux, si l'on en croit les récits des voyageurs – rares – qui ont réussi à s'en approcher.
Claquemuré depuis quinze jours, il tire dans son miroir... Rentrant chez lui avec une montagne de pâtes et de papier hygiénique, il découvre que l'eau est coupée pour une durée indéterminée.
La seule espèce de cervidé à feuilles persistantes vit dans les forêts d'Hokkaido. Son feuillage change de couleur suivant les saisons... malgré le changement climatique. La meilleure saison pour l'observer est l'automne, quand sa parure est la plus flamboyante.
Cet étrange animal vivait dans les eaux douces du fleuve Yangzi Jiang. Il a disparu au début du XXe siècle, bien avant le dauphin de Chine, avec qui il cohabitait en parfaite harmonie. C'est sa langue en tire-bouchon, dont les Chinois étaient très friands, qui serait la cause de son extinction.
Difficile d'imaginer animal plus gai et facétieux. D'une humeur égale et d'un tempérament joyeux, toujours prêt pour quelque tour, il prend plaisir à imiter la démarche des marins. Seuls parviennent à le contrarier ceux qui tentent de lui tirer le portrait.
Les scientifiques s'accordent sur l'existence de trois espèces de marabout, deux en Asie, la troisième en Afrique. Mais il en est une quatrième : le marabout zoophobe, également misanthrope et agoraphobe. Il fuit toute vie et toute compagnie, dont il n'a d'ailleurs nul besoin.
Les îles Tohu-Bohus, situées loin de toute terre, possèdent de nombreuses espèces endémiques, végétales et animales. On y trouve, entre autres, des armadillos lunatiques. Mais l’animal le plus curieux que l’on peut y rencontrer est le nasique philosophe.
La première fois que j'eus l'occasion d'observer une solea hydrophoba, elle se trouvait sur le carrelage de mon jardin d'hiver. Je m'approchai pour la saisir. Quelle surprise de la sentir frissonner sous mes doigts. Elle était vivante... Je venais de découvrir le premier poisson hydrophobe.
L'existence de ce drôle de mammifère n'est absolument pas certifiée. Un photographe prétend néanmoins en avoir rencontré un au cours de ses voyages. Il en aurait réalisé quelques clichés qui, comme de bien entendu, auraient été perdus.
Port altier, démarche languide, somptueuse couronne qu'il exhibe partout avec fierté... le roi des échassiers mérite bien son nom. Hélas, allez savoir pourquoi, son règne ne dure qu'un temps et, une fois ses plumes tombées, c'est seul qu'il attend la fin.
Fâcheux, grincheux, grognon... Cet échassier atrabilaire est toujours de mauvaise humeur. Tout dans son comportement laisse penser à celui qui le croise qu’il n’est pas le bienvenu... Aujourd’hui, les coloriages pour enfants confinés prennent de la hauteur.
À ne pas confondre avec le turbot étoilé, dont il est proche, ce magnifique poisson plat est remarquable par le motif au centre de son dos. Chaque spécimen en possède un différent, qui permet de l'identifier, à l'instar de nos empreintes digitales.
Sa capacité à luire dans l’obscurité a valu le surnom de “luciole des mers” à cette espèce aujourd’hui éteinte, mais a peut-être contribué à sa disparition en signalant sa présence à ses prédateurs. Une fois sorti de l’eau, en revanche, il devenait noir comme l’ébène.
Représenté par les plus grands artistes animaliers depuis le début du XVIe siècle, son existence est aujourd'hui mise en doute par certains scientifiques, en l'absence d'ossements ou de spécimens naturalisés. Qu'il soit pourtant permis de rêver de sa réapparition...
Curieux animal au regard étrangement vide et au comportement ne répondant à aucune logique, cet oiseau rare est étonnamment résistant à l'alcool. Les marins l'ayant pris en affection, il est rapidement devenu leur mascotte.
Profitant de l'anonymat que permettent les réseaux sociaux, quelqu'un s'est cru autorisé à poster sur une page Facebook un pastiche des animaux ici dessinés. Le faussaire est allé jusqu'à signer ses œuvres du nom de leur auteur.
Un nouveau coloriage pour enfants – et adultes – confinés. Aujourd'hui, le diabolin, ou manis longispinis, probablement le seul mammifère pholidote à ne pas être menacé d'extinction. Il est le seul manidé dont les écailles changent de couleur en fonction des milieux dans lesquels il évolue.
Coloriages pour enfants confinés. Aujourd'hui, le marabouleo, mammifère carnivore de l'Afrique sub-saharienne. On croyait l'espèce disparue, mais depuis qu'un spécimen a été observé en Angola, elle a proliféré, aux dépends du termitier dont elle est le principal prédateur.
Coloriages pour enfants confinés. Aujourd'hui, le coq chauve. Ce magnifique gallinacé a été observé pour la première fois lors de l'expédition de Brazzognan de Samovar sur l'archipel de la Cinglinglin. Il aurait aujourd'hui totalement disparu.
Neuf des dix premiers lecteurs à avoir donné les huit bonnes réponses étaient des lectrices ! Et l’âge moyen des lauréates infirme l’idée couramment répandue que les jeunes lisent moins que leurs aîné.e.s.
On anéantit son propre caractère dans la crainte d'attirer les regards et l'attention, et on se précipite dans la nullité pour échapper au danger d'être peint.
Hérodote nous dit que, dans les pays froids, les animaux ont rarement des cornes, mais que, dans les pays chauds, ils en ont de fort grandes. Ceci pourrait donner lieu à une plaisante interprétation.