
Le sujet s’était invité dans la campagne présidentielle peu avant le premier débat, suite à un fait divers tragique : dans le Loiret, un vieux monsieur piqué par des frelons asiatiques se trouvait dans le coma. Impossible d’éluder la question, les candidats s’étaient préparés en conséquence. Sans surprise, ce fut la candidate nationaliste qui lança la polémique : "On ne peut plus se promener à la campagne sans avoir peur. Ils se déplacent en essaims et s’attaquent aux personnes vulnérables. On n’est plus en sécurité chez soi !" (Lire l'article)