“La Compagnie N°8 s’intéresse aux riches, via une Garden Party chez les bourgeois et une Cocktail Party chez les aristos. La pantomime vire volontiers au jeu de massacre –les invités adorent se trucider–, et l’humour noir est à la fête, jusque dans le renversement des rôles hommes-femmes, les premiers se transformant en gibier de chasse à courre pour les secondes.”
René Solis, festival d’Aurillac, août 2016
Lire l’article