La clairière de Clichy en zig ZAC (2)
Ils sont nombreux les architectes à avoir œuvré ici, avec toutes sortes de promoteurs, sous la houlette de la Ville de Paris. Formellement, fini le continuum gris monotone haussmannien, les sériels HBM, remballé le grand ensemble... Tous ces nouveaux immeubles dessinent un kaléidoscope de silhouettes et de volumes encore inhabituels.
Comment résister
ils battent le pavé des villes ceux qui
trop obliques ou verticaux
pas assez épandus ou pliés
n’ont pas franchi la porte
des statistiques
2017
Encore des virus-soleils pour fêter la nouvelle année en 2017, comme des étoiles sur sapin de...
2014
Au début de l’année 2014 on s’apprête à fêter les cent ans de la Grande guerre, celle de 14-18.
2019
Pour l’année 2019, les amis des Zurbains n’ont pas reçu de carte de vœux mais un mot écrit à la main par Michel. Il explique qu’il doit tout consacrer toutes ses forces à résister à une (saloperie de) leucémie.
Autoportrait au pied levé
Les jeux sont faits, la valise aussi! Vite, il ne reste plus à cette belle inconnue que...
Le corne-de-lune
La femelle est d'un vert éclatant. Chez le mâle, les plaques écailleuses semblent animées par des reflets cuivrés toujours changeants... Ce bel insecte doit son nom au cercle parfait qui orne sa tête aux yeux d'un rouge vif.
1997
De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles racontent cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Don’t believe in me
Une fête dans un bar, des jeunes gens dont on ne distingue pas les visages, un rituel filmé avec dérision et tendresse : Dont believe in me de Ana Esteve Reig, entre air du temps et déjà vu.
1994
De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles offrent un parcours à travers cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Triplé français
C’est sous haute surveillance qu’a eu lieu hier soir la première épreuve des Jeux de Paris...
Moisson de panneaux
Ne circulant jamais avec du blé sur lui, un de nos envoyés spéciaux, avisant l’obligation faite...
Finir comme un légume
je tranche des carottes
de l’ail et du fenouil
dans la nuit
j’aime le craquement
du couteau dans la chair ferme
Brest 1982 : la ville, les pauvres, le port (4)
L'été se terminait. Le soleil avait contredit la grisaille, cliché bien installé dans les mémoires brestoises. Parler des pauvres qu'on baptisait nouveaux pour désigner ceux qui restaient au bord du chemin, nous amena à penser qu'il fallait aussi parler de leurs rêves, de ce qui les extrait de ces quotidiens besogneux. Quoi de mieux qu'un match de foot...