“Sur le mode du théâtre pour la compagnie Carabosse qui embarque le public dans son Hôtel particulier. L’établissement est luxueux, nous sommes dans les années trente et l’on s’y déplace librement des chambres au bar et au grand salon, où des saynètes se rejouent en boucle. Chacun peu à peu reconstruit l’histoire, un vaudeville fantastique autour d’une conférence sur le cerveau et les rêves donnée par un inquiétant professeur Pélissard, qui ponctue ses phrases d’un salut nazi. C’est bien joué, amusant à suivre, esthétiquement très soigné et sans véritables aspérités. Le mieux étant une fin en enfer où Carabosse retrouve le maniement des flammes qui a fait sa réputation.”
René Solis, au festival d’Aurillac, août 2016
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