“Prochainement est une merveille, qui commence par une séance de cinéma en plein air. L’écran est une grande toile et le film projeté suit un triporteur sur une route de montagne. C’est beau, énigmatique, entrecoupé d’autres images –un voyage en train, une barque hissée au sommet d’une colline, un bateau échoué, des enfants à la baignade. Un ballon roule sur la route, le triporteur freine, perd sa cargaison, une bobine de film roule dans la pente, s’arrête au bord d’un lac. L’écran tremble, se déchire, une actrice portant sur le dos une horloge dont les aiguilles tournent à l’envers le traverse, les spectateurs sont invités à la suivre.”
René Solis, au festival d’Aurillac, août 2016
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