Le problème, c’est que l’Italie n’a pas l’habitude de certaines situations, voilà, disons-le clairement dès le départ. Se présenter au dernier match avec la qualification déjà en poche, et en tant que premier du groupe : a-t-on déjà vu ça ? Nous, les Italiens, on n’est vraiment pas à l’aise dans ce rôle de forts en thème, de premiers de la classe. Sans même un complot des puissants au pouvoir, juste une promenade de santé et ce classement triste, tout germanique, à carton plein… (Lire l’article)
Massimo Miro