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et bien sûr les cimetières seraient des restes de vastes romans dont un auteur insatisfait et coléreux aurait rayé et effacé les péripéties, ou des débuts, si l’on préfère, qu’un écrivain aquoiboniste aurait laissés à l’abandon, mais où, quoi qu’il en soit, le lecteur qui s’y promènerait et y tournerait les pages de pierre ne trouverait que le nom des personnages, des dates, un peu plus parfois, l’amorce d’une histoire, la trace d’un lien, la possibilité d’un paysage ou d’une voix, dont il pourrait faire, avec cette liberté souveraine qui est la sienne, bien sûr, ce qu’il lui plairait
par Frédéric Teillard
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Depuis sa création en 1836 dans une Grèce fraîchement indépendante, la pièce La Tour de Babel (Vavylonìa) de Dimitris Vyzantios n’a pratiquement pas cessé d’être jouée, lue, adaptée sous diverses formes sur le territoire actuel de la Grèce et dans toutes les régions habitées par des communautés de langue grecque. On a même soutenu qu’il s’agissait là de « la plus grecque de toutes les pièces grecques ». S’y frotter pour tenter d’en donner une version française, c’était dès lors se colleter avec un mythe. Sa traductrice entend ici donner une idée du voyage qu’a constitué ce travail, au jour le jour.