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Nul besoin d’être scientifique pour apprécier la beauté, la liberté, l’extraordinaire variété, la poésie des mathématiques. On voit souvent les maths comme d’inaccessibles sommets du savoir, d’intimidantes tours de concepts. Sans doute : n’est pas médaillé Fields qui veut. Mais il y a d’abord ceci, qui est essentiel : ouvertes sur tous les champs de la pensée humaine, blotties au sein de la grande ville des constructions de l’esprit, les maths sont avant tout un terrain de jeu, une cour de récréation de l’esprit, un ces domaines secrets pour gosses en liberté, où l’imagination seule fixe les limites, où la seule règle est d’enrichir le conte, où les réponses importent moins que les questions, et où le pourquoi pas compte autant que le parce que. Comme ces gamins qui jouent, les mathématiciens parlent au conditionnel, et créent eux-mêmes la réalité dont ils ont besoin. Allons jouer avec eux!
par Yannick Cras
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Si un concept subjectif et son dual sont en fait la même chose, ce n’est plus un treillis que tu manipules: c’est le papyion lui-même, dans lequel chaque concept et son dual se confondent en un seul cercle vu en transparence, et c’est ce cercle qui est le concept subjectif. Si on va par là, tout notre travail sur les treillis est à mettre à la poubelle. Attention, je ne dis pas que c’est absurde, je dis juste que si c’est vrai tu viens de nous rajouter quelques mois de boulot.