Joker baroque et grotesque, Donald Trump est-il le “super vilain” de notre cauchemar collectif ? De Batman à Star Wars en passant par Terminator, passage en revue des grands avatars hollywoodiens du 45ème Président des Etats-Unis d’Amérique, troublant de ressemblance dans le rôle du grand méchant plutôt que du héros positif. (Lire l’article)
De quel film Trump est-il le nom ? Épisode 1 : un clown de cartoon ?
Bigger than Hollywood… On a déjà tout dit de Donald Trump, icône de télé-réalité sortie de l’une dans l’autre pour nous piéger dans son propre show planétaire. Alors s’il paraît déborder le petit écran, c’est que sans doute il croit le grand à sa mesure. Loin du cow boy classique Ronald Reagan, quel (anti-)héros de cinéma est donc le 45e Président des États-Unis d’Amérique ? Premier épisode consacré au dessin animé, grand genre du baroque et du grotesque – deux attributs indéniables du phénomène Trump. (Lire l’article)
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Ex Machina #36: Plus ça change, plus c’est la même chose
– Nous avons une lumière dont la couleur change du violet au jaune puis au rouge. Quand la lumière vient de passer au rouge, notre percept visuel sera décrit ainsi: « détecteur rouge actif, encore inchangé; détecteur vert inactif, encore changé; détecteur bleu inactif, nouvellement inchangé ». Le « encore » signifie que le troisième indicateur est inactif, que le deuxième est dans le même état qu’avant, et que le premier a subi le même changement, ou absence de changement, que la fois d’avant. « Nouvellement changé (ou inchangé) » indique que le troisième détecteur est actif et que le changement… a changé. Ça vous parle?
– En vérité, je suis largué.