Scène de rue ordinaire dans le Val-de-Marne (94). « Salut mon chaton » lance l’automobiliste garé en double file à la jeune femme qu’il vient de déposer. « Édouard, remonte ! » s’empresse-t-il aussitôt d’ordonner à son basset – qui s’exécute sans discuter –, avant de démarrer en trombe.
On ne sait toujours pas comment s’appelle le chaton…
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