La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

délibéré mode d’emploi
À nos (futurs) lecteurs [4]

À nos (futurs) lecteurs [4]

Après quelques mois d’adolescence, délibéré passera en 2016 à l’état adulte. Sa curiosité s’étendra bientôt à presque tous les champs de la culture. Cet état adulte sera une perpétuelle adolescence : délibéré est une revue critique qui entend privilégier les points de vue, les chemins de traverse, les fascinations, les fidélités, les choix délibérés. (Lire la suite)

À nos (futurs) lecteurs [3]

À nos (futurs) lecteurs [3]

délibéré avance et s’enrichit de nouvelles signatures : tous les jeudis, Arnaud Laporte propose son Bentô où il pratique le mélange des genres et met en correspondance des œuvres issues de différents horizons : au menu, littérature, théâtre, danse, musique, cinéma, arts plastiques… Un nouveau rendez-vous hebdomadaire qui s’ajoute aux chroniques déjà existantes. (Lire la suite)

À nos (futurs) lecteurs [2]

À nos (futurs) lecteurs [2]

Après des débuts sous le signe de la danse et du théâtre, délibéré ne se met pas entre parenthèses au mois d’août : Éric Loret publie chaque lundi un Courrier du corps ; le mercredi, c’est Footbologies, par Sébastien Rutés ; le samedi, Sciences du fait-divers par Édouard Launet. En attendant septembre et l’arrivée de rubriques inédites et de nouvelles signatures. (Lire la suite)

À nos (futurs) lecteurs [1]

À nos (futurs) lecteurs [1]

délibéré est en train de voir le jour autour d’une idée simple : inventer une revue culturelle critique, qui s’intéresse à tous les champs de la création – cinéma, théâtre, danse, musiques, livres, BD, photo, architecture, arts plastiques, arts de la rue, arts numériques, et toutes formes hybrides… – et privilégie les points de vue, les polémiques et les chemins de traverse. (Lire la suite)

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Traduire le malentendu

Traduire le malentendu

Depuis sa création en 1836 dans une Grèce fraîchement indépendante, la pièce La Tour de Babel (Vavylonìa) de Dimitris Vyzantios n’a pratiquement pas cessé d’être jouée, lue, adaptée sous diverses formes sur le territoire actuel de la Grèce et dans toutes les régions habitées par des communautés de langue grecque. On a même soutenu qu’il s’agissait là de « la plus grecque de toutes les pièces grecques ». S’y frotter pour tenter d’en donner une version française, c’était dès lors se colleter avec un mythe. Sa traductrice entend ici donner une idée du voyage qu’a constitué ce travail, au jour le jour.