La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

délibéré mode d’emploi
À nos (futurs) lecteurs [4]

À nos (futurs) lecteurs [4]

Après quelques mois d’adolescence, délibéré passera en 2016 à l’état adulte. Sa curiosité s’étendra bientôt à presque tous les champs de la culture. Cet état adulte sera une perpétuelle adolescence : délibéré est une revue critique qui entend privilégier les points de vue, les chemins de traverse, les fascinations, les fidélités, les choix délibérés. (Lire la suite)

À nos (futurs) lecteurs [3]

À nos (futurs) lecteurs [3]

délibéré avance et s’enrichit de nouvelles signatures : tous les jeudis, Arnaud Laporte propose son Bentô où il pratique le mélange des genres et met en correspondance des œuvres issues de différents horizons : au menu, littérature, théâtre, danse, musique, cinéma, arts plastiques… Un nouveau rendez-vous hebdomadaire qui s’ajoute aux chroniques déjà existantes. (Lire la suite)

À nos (futurs) lecteurs [2]

À nos (futurs) lecteurs [2]

Après des débuts sous le signe de la danse et du théâtre, délibéré ne se met pas entre parenthèses au mois d’août : Éric Loret publie chaque lundi un Courrier du corps ; le mercredi, c’est Footbologies, par Sébastien Rutés ; le samedi, Sciences du fait-divers par Édouard Launet. En attendant septembre et l’arrivée de rubriques inédites et de nouvelles signatures. (Lire la suite)

À nos (futurs) lecteurs [1]

À nos (futurs) lecteurs [1]

délibéré est en train de voir le jour autour d’une idée simple : inventer une revue culturelle critique, qui s’intéresse à tous les champs de la création – cinéma, théâtre, danse, musiques, livres, BD, photo, architecture, arts plastiques, arts de la rue, arts numériques, et toutes formes hybrides… – et privilégie les points de vue, les polémiques et les chemins de traverse. (Lire la suite)

À lire également

Surviennent les souvenirs

Surviennent les souvenirs

Brève n°38 pour waterphone, interprétée par Virginie Michaud (1998) et composée par Jacques Rebotier.

Trahir

Trahir

et le 17 novembre 1925, pensant peut-être par-là attirer sur son fils nouveau-né la gloire dont il avait rêvé pour lui-même, Thomas Shelley, hôtelier londonien enrichi, convainquit sa jeune épouse, Ann Godwin, de donner à l’enfant les mêmes prénoms que le fameux poète Shelley, Percy Bysshe.

Reviens !

Reviens !

Brève n°19 pour cor des alpes. Les cornistes joueront avec une petite embouchure, qui leur permettra d’atteindre le suraigu; les trombonistes, les tubistes, avec une embouchure plus grande, qui les consolera avec des sons pédales gravissimes, et une voix qui sortira mieux dans l’instrument.