Les autorités françaises avaient assuré que la reconnaissance faciale ne serait pas utilisée lors des jeux olympiques et paralympiques.
Les premiers tests de vidéosurveillance algorithmique (VSA) réalisés les dimanche 3 et mardi 6 mars font néanmoins craindre le pire à certain·e·s parisien·ne·s qui ont décidé de prendre les devants en adoptant une tenue de circonstance avant de se rendre dans l’espace public et sur les stades.
Edmonde Daprais
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