Dans le roman de John Okada, les bars comme les rues sont des terrains minés où la couleur de la peau et l’appartenance plus ou moins pure à telle ou telle communauté peuvent conduire en enfer.
C’est l’histoire d’un looser vaguement survivaliste coincé dans sa cave avec son chien et son lapin. Il paraît qu’il y a “des années avec et des années sans”. En 2020, on ne peut que souscrire…
C’est une tentative d’attraper des images, des sensations, des bouts de vécu, des odeurs, parce que ça passe si vite, l’enfance : Les singes rouges de Philippe Annocque (Quidam éditeur).
Les éditions Tishina publient Des souris et des hommes de John Steinbeck, (magnifiquement) illustré par Rébecca Dautremer et traduit par Maurice-Edgar Coindreau.
Dix bonnes ou mauvaises raisons de lire ce roman revigorant et drôle où une héroïne qui n’a plus grand-chose à perdre livre un combat acharné contre des spectres terrifiants armés de cidre empoisonné…