
Avant de revenir sur ses premiers essais d’illustration de livres qui ont précédé la grande période de créativité de Kley (entre ses premières publications dans la revue Simplicissimus et la première guerre mondiale), publions quelques-unes des images dérivées de celles commandées par Krupp.
Des diables y envahissent les usines, bouchent les cheminées, goûtent l’acier en fusion. Des trains déraillent ou s’envolent dans les cauchemars d’un ingénieur. Une presse se transforme en monstre, des démons électriques font leur apparition. Un curieux dessin où les dirigeables sont accessibles par deux plateformes séparées, une réservée aux catholiques, l’autre aux protestants, israélites, méthodistes, luthériens, bouddhistes, etc… Une architecture extravagante qui aurait pu figurer dans le Vingtième siècle de Robida.
Vous trouverez ci-dessous deux versions légèrement différentes du Teufel am Fabrikamin, ainsi que l’original de Pui Deifel et sa reproduction dans un recueil de dessins.








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