Nous vous avions proposé l’an passé un jeu de devinettes. Il avait rencontré auprès de nos fidèles lectrices un succès auquel nous ne nous attendions absolument pas. Un véritable plébiscite! C’est d’autant plus étonnant qu’elles n’ont pratiquement jamais – à part les quelques vilaines tricheuses que nous ne félicitons pas – trouvé la réponse à la question posée.
Pour les plus jeunes qui viendraient seulement de nous rejoindre, rappelons-en le principe. Il s’agissait d’identifier un film d’après une saisie d’écran. Sans doute déroutées par notre choix d’éviter les scènes les plus connues ou les acteurs (et quelques trices) les plus célèbres, nos lectrices ont donc très lamentablement échoué.
Afin de leur offrir une belle occasion de se rattraper, nous avons décidé de renouveler l’expérience en simplifiant le jeu. Choisir le début d’un film nous ayant paru – après mûre réflexion et moultes discussions – trop difficile, nous avons décidé de proposer de les identifier plutôt d’après leur dernière image.
Cette fois, nul doute n’est plus permis, nos fidèles lectrices vont pouvoir briller pendant tout l’été (penser à bien se protéger du soleil, ndlr)!
Chaque samedi, une nouvelle image sera mise en ligne. Et chaque samedi, nos fidèles lectrices pourront retrouver la solution du samedi précédent en cliquant sur l’image mystérieuse.
J’ai pensé à The Misfits, le film de John Huston. Mais ce n’est pas ça… Mais j’en ai profité pour revoir le film, alors merci.
C’était bien tenté, mais ce n’est pas la bonne réponse! Le film dont nous publions la dernière image est encore plus « désaxé »! Vous pouvez rejouer autant que vous le souhaitez jusqu’à samedi et d’ici-là en profiter pour revoir tous les grands classiques du cinéma.
La première image était donc tirée du film « The Beast with a Million Eyes », de David Kamarsky & Roger Corman (1955)
La bonne réponse, Mother Ryley meets the vampire, m’a été révélée par des voies que je n’avoue ici que dans l’espoir de recevoir l’absolution de Monseigneur Boutantrin, dont je fais l’effort (pour une fois) d’orthographier le nom correctement, par pur et vil calcul.
Mea maxima culpa
Toutes les félicitations de la rédaction à Nathalie qui, la première, a donné la bonne réponse à notre jeu de la semaine. Et cela, en trichant d’une façon éhontée! Nous n’en attendons pas moins de nos lectrices. Qu’elles suivent donc cet exemple au lieu de perdre leur temps en voulant à tout prix rester honnête! À délibéré l’honnêteté ne paie pas (ailleurs non plus). Notre candidate victorieuse remporte donc une absolution totale et incompressible d’une durée d’un an, et ceci à partir de ce jour.
La solution de l’image nº5 ayant été trouvée, nous publions l’image de fin nº6.
Un film qui finit mal, on dirait…
Chère Aline, comme disait je ne sais plus quel vieil adage (il ne doit plus être de ce monde aujourd’hui): « Tout est mal qui finit mal. »
Roma città aperta?
Ciao Carmina. C’est bien Rome, mais ce n’est pas la bonne riposta.