









Nous l’avons dit, nous le répétons à nos lectrices sensibles (l’essentiel de notre lectorat, faut-il le rappeler…): AUCUN CLÉBARD N’A ÉTÉ MALTRAITÉ pendant le tournage de ce roman-photo. Aucune vioque non plus.
Nous l’avons dit, nous le répétons à nos lectrices sensibles (l’essentiel de notre lectorat, faut-il le rappeler…): AUCUN CLÉBARD N’A ÉTÉ MALTRAITÉ pendant le tournage de ce roman-photo. Aucune vioque non plus.
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« Ma parole, c’est le clebs de la vieille! Et même pas attaché. Y’a peut-être moyen de se faire du bif! »
Pourriez-vous à l’avenir publier des roman-photos sans photos? En effet, pour vos lectrices fidèles mais au cœur sensible (c’est mon cas), ces images choquantes sont absolument insoutenables, d’autant que le pire est peut-être encore à venir… Pauvre Kiki!
Chère fidèle lectrice au cœur sensible, nous avons été peinés de vous avoir choquée et avons décidé de retirer toutes affaires cessantes les images les plus dures qui figuraient sur la page 8 de notre roman-photo. Nous les avons remplacées par des cartons, comme dans les films muets de notre enfance (comme c’est loin tout ça!)
Nos lectrices plus “viriles“, friandes d’images un peu gore (ça les regarde) peuvent, si elles le souhaitent, en faire la demande à la rédaction qui se fera un plaisir de les leur envoyer sous pli discret.
Le concept de film muet sans image n’est pas intéressant mais… c’est un peu comme le roman-photo sans photo. Faudrait pas en arriver à supprimer le texte, hein. Enfin, je dis ça, je dis rien…
Chèr-e anonyme, notre but était en effet de tenter faire un roman-photo sans les photos, puisqu’elles choquent nos lectrices au cœur sensible, et qui ne soit pas nom plus un roman afin de ne pas les lasser. Une précision qui, nous l’espérons, ne sera pas trop technique pour notre lectorat: nous avons procédé à la manière d’un cadavre exquis, mais seul et sans cadavre.
Cher Monsieur, je reviens à l’instant d’une longue visite du cimetière des chiens (+ quelques chats et autres babioles) d’Asnières et n’ai pas trouvé le début du commencement de l’ombre d’une plaque commémorative de l’inhumation des pauvres « clébards » que vous mentionnez dans votre (trop court) roman, dont nous attendons d’ailleurs d’un pied fébrile l’épilogue. Les aura-t-on changé de sépulture? Si vous aviez des informations à ce sujet, le groupe* de lectrices fidèles de délibéré (dont je suis membre active) et moi-même serions vivement intéressées.
Bien cordialement.
Elvire Debord
*Nous nous réunissons tous les dimanches à l’heure du thé pour lire ensemble les derniers articles de votre revue. Un rendez-vous incontournable!
Permettez-moi d’apporter une petite correction (infime, j’en conviens, mais quand on connaît votre soin du détail juste et votre perfectionnisme rarement mis en défaut…) à votre œuvre (sic). Il se trouve que j’ai moi-même, dans ma cuisine, l’ouvrage que « la vieille » tient en main. Je l’utilise d’ailleurs beaucoup moins depuis que je me suis progressivement convertie à la cuisine responsable. Ne vous méprenez pas, je ne suis devenue ni végane, ni même seulement végétarienne, j’ai seulement décidé de ne plus consommer que des chiens de proximité.
Mais trêve de bavardage, le titre exact du livre est: Comment cuisiner SON pékinois.
Bien cordialement.
On l’voit pas dans les épimachins. Et où qu’il est passé l’Jojo?
À plusieurs reprises déjà, j’étais à deux doigts de prendre la plume afin de vous faire part de mon irritation grandissante. En effet, sans doute abusé par quelque publicité bien faite – je mesure à présent à quel point elle était mensongère – je m’étais décidé à soutenir votre revue à la hauteur d’un don de 10 (dix tout de même et sans bénéficier de réduction d’impôt!) euros. J’étais loin de penser alors que j’allais contribuer à la publication de telles absurdités. Inutile de vous dire (je le fais tout de même) qu’on ne m’y prendra plus et que je cesse dès aujourd’hui de faire partie de votre lectorat (bien indulgent!). À bon entendeur, je ne vous salue pas.
À notre grande stupeur, nous avons appris que tous vos chroniqueurs (et niqueuses) étaient bénévoles (et voles). Avant que nous n’écrivions un commentaire sur cette page, nous aimerions être sûres qu’ils soient bien rémunérés. Merci de votre retour. Bien cordialement.
Post commentarium.
Soyons précises… ou plus claires.
Rémunérés les commentaires, bien entendu!
Chère Alice, rassurez-vous. Jojo n’a pas disparu. Il est hors-champ en train de manger un hot-dog.
À vous lire, il m’arrive de me demander si c’est du lardon ou du cochon.
Cher Jo, il y a bien longtemps que nous ne nous le demandons plus!
Cher Collectif de fans du Sud Ouest, vos commentaires sont bien entendu rémunérés à la hauteur de 10% du montant de votre cotisation que – sauf erreur – nous n’avons toujours pas reçue. Bien à vous.