La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

Mariana Di Ció
Trenque Lauquen, magique pampa

Trenque Lauquen, magique pampa

Ce film au long cours de l’Argentine Laura Citarella, nous entraîne en eaux troubles, au coeur d’une pampa fantasque et fantastique, sur les traces d’une botaniste, d’une écrivaine disparue et d’une créature étrange… Fascinant.

Gombrowicz en Argentine : l’amour vache

Gombrowicz en Argentine : l’amour vache

Fin août 1939, Gombrowicz débarque à Buenos Aires. Dans les Lettres à ses disciples argentins, l’écrivain brocarde joyeusement conventions, modes et conformismes. 
La poésie argentine à l’heure d’hiver

La poésie argentine à l’heure d’hiver

La librairie latino-américaine Cien Fuegos accueille à Paris Jorge Fondebrider, poète et traducteur, pour une introduction hivernale à la poésie argentine contemporaine.
Fine fleur

Fine fleur

La Flor, un film de Mario Llinás (Argentine), 840 minutes, avec Pilar Gamboa, Elisa Carricajo, Laura Paredes, Valeria Correa… en salles en France.

Tomás Saraceno On Air

Tomás Saraceno On Air

Ça ne tient qu’à des fils suspendus en l’air et pourtant on a rarement vu plus consistant. Sur les 20 000 mètres carrés qu’il s’est vu confier au Palais de Tokyo, Tomás Saraceno (Tucumán, Argentine, 1973) déploie un parcours d’œuvres vivantes qui s’échafaudent (littéralement) sur l’inframince.

Quo vadis, Nicanor ?

Quo vadis, Nicanor ?

Nicanor Parra vient de nous quitter. En 103 ans de vie, il aura eu le temps d’être mathématicien et physicien, d’appartenir à une illustre famille d’artistes qui compte aussi parmi ses rangs la chanteuse folklorique Violeta Parra, sœur cadette de Nicanor, mais, surtout, d’être un énorme poète, ou plutôt anti-poète, ainsi qu’il aimait se définir. (Lire l’article)

Ricardo Piglia : le souffle de la fiction

Ricardo Piglia : le souffle de la fiction

Y a-t-il une histoire ? » C’est ainsi que s’ouvre Respiration artificielle, œuvre indispensable de l’Argentin Ricardo Piglia, qui vient de nous quitter. L’histoire familiale du jeune écrivain Emilio Renzi, alter ego aussi évident que mensonger de l’écrivain, s’entrelace avec l’histoire agitée de son pays. Dès les premières pages, il met en garde le lecteur : « Tout est apocryphe »(Lire l’article)