Devant sa maison, une femme cueille des herbes. Surgit un inconnu, qui commence à la questionner. En arrière-plan, une réflexion sur l’intoxication sécuritaire et ses mensonges : Belial, de Yànnis Mavritsàkis, une pièce traduite du grec par Michel Volkovitch et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
Deux sœurs confrontées à la mort de leur mère, la tragédie d’un adolescent découvrant son homosexualité, une lente dissolution de la cellule familiale : Ce qui manque, de Tomislav Zajec, une pièce traduite du croate par Karine Samardžija et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
Dans la petite ville balnéaire britannique de Sheerness, un homme surgit de la mer. C’est un inconnu, et il se tait. Il se contente de jouer du piano : Ivre de mots de Frank Siera, une pièce traduite du néerlandais par Esther Gouarné et Mike Sens et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
Une présentatrice de show télévisé, une galerie de personnages célèbres et moins célèbres, un détournement du discours politique et des codes du théâtre, des indications scéniques absurdes : La Grande Marche, de Wolfram Lotz, une pièce traduite de l’allemand par Sofiane Boussahel et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
Un gratte-ciel abandonné de Détroit, un chassé-croisé amoureux et suicidaire dans un monde qui s’effondre : American hotel, une pièce de Sara Stridsberg traduite du suédois par Marianne Ségol-Samoy et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
Damas, 2010. Siba, Saad, Hanane et Ammar se noient dans la peur, la douleur, et les tentatives amoureuses. De cet enfermement progressif, Siba, la trentenaire encore célibataire, payera le prix fort : Les Petites Chambres de Wael Kaddour, une pièce traduite de l’arabe (Syrie) par Wissam Arbache et Hala Omran et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
L’histoire de l’État d’Israël envisagée du point de vue palestinien : 70* ans de fragments, une pièce de Hannah Khalil traduite de l’anglais par Ronan Mancec et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)
Deux femmes, D et H, se voient contraintes de cohabiter dans un hôtel coupé du monde pendant une semaine : Massacre de Lluïsa Cunillé, une pièce traduite du catalan par Laurent Gallardo et présentée à La Nuit de la traduction organisée par la Maison Antoine Vitez. (Lire le début de la pièce)