Toujours soucieux de dérouter les algorithmes – quand nous n’avons pas sous la main notre célèbre (et breveté!) brouilleur d’iceux – nous nous ingénions, pour ne prendre qu’un exemple, à sélectionner sur notre platebande musicale les musiques les plus débiles que nous puissions trouver afin d’être certain que l’on ne nous conseillera point encore quelque rareté de la deuxième école de Vienne ou quelque pépite de jazz éthiopien que de toutes façons nous connaissons déjà. Pour nous simplifier le travail, nous choisissons ces horreurs grâce à leurs pochettes “prometteuses” et attendons ensuite avec fébrilité les inepties qui vont nous être conseillées. Nous ne sommes jamais déçu!