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Bien rangée
Il abandonne sa voisine de palier – une jeune femme bien rangée – dans un désordre...
Plaqué au sol
L’ “apprenti cambrioleur“ qui se faisait passer pour un marchand de tapis a été déféré au...
J9 – Un footballeur ne devrait pas dire ça…
Dans un livre d’entretiens publié cette semaine, le président de la République évoque la formation intellectuelle des footballeurs. Les qualifiant de “gosses mal éduqués” –comme si l’éducation ne relevait pas de ses compétences– et de “gars des cités” –comme si le problème des banlieues ne le concernait pas–, il critique leur manque de “références” et de “valeurs”, leur incapacité à discerner “le bien et le mal” et pointe leurs difficultés d’expression. Or, la communication fait partie de la mise en scène. Comme ils apprennent un rôle, les footballeurs mémorisent aussi des dialogues. La faute aux caméras qui scrutent, aux journalistes qui décortiquent le moindre propos. Pas de place pour l’improvisation. (Lire l'article)
Signalisation simplifiée
Pour plus de lisibilité, une signalisation simplifiée et modernisée.
Un petit tour épizootie
Leur consommation ne présentant aucun risque de transmission de la grippe aviaire à l’homme,...
Une disparition qui laisse un froid
D’après ses anciens amis, c’est dès l’adolescence qu’il aurait développé sa passion pour les...
Drame sur un banc public
Il le tue d’un coup de couteau parce qu’il s’était assis sur son ombre.
De l’instagrammatologie
Réussir son compte Instagram, ce n'est pas si facile. Parce que comme avec tous les instruments de création 2.0, le risque du “trop” n'est jamais loin. Vous avez dix mille filtres à dispo, des outils de recadrage, de réglage, etc. pour rendre une photo ratée acceptable. En général, une petite retouche suffit. Mais le syndrome “open bar” frappe régulièrement : on sature les couleurs, on ajoute un cadre vintage, et puis aussi un effet “vignette” qui fait trop mystérieux, tel un trait de kohl sous les yeux. Résultat : c'est plus un cliché, c'est un camion volé. À part ça, que montrer sur Instagram ? C'est en principe l'endroit où s'exprime votre créativité, votre voyeurisme s'exerçant quant à lui sur Facebook et votre sens du café du commerce sur Twitter. Comment accumuler les likes ou, au contraire, rater sa vie sur Instagram ? (Lire la suite)
Traduire l’impossible (entretien avec Alena Lapatniova)
Dans Les Enfants d'Alendrier, du romancier biélorussien Alhierd Bacharevič, la langue est non seulement le thème central du livre, mais un personnage à part entière. Rencontre avec l’une des deux traductrices, Alena Lapatniova.
La flèche immobile
La clientèle de l’hôtel Aleph est exigeante, et nulle considération absconse quant à la possibilité ou non de faire tenir des clubs dans des chambres ne saurait lui tenir lieu d’excuse valable. Pour résumer l'opinion générale : quand on veut on peut, et au prix où se paye la nuitée la direction ne devrait pas regarder à la dépense, ou bien on ira voir ailleurs. Comme l’un des résidents les plus vindicatifs ne se priva pas de le dire à Hilbert, “vous savez remplir ℵ0 chambres d’un coup, nous pourrions bien vous montrer comment les vider tout aussi rapidement”. Bref, la crise. (Lire la suite)
J29 – Le travail du bonnet
Dominique Arribagé est le neuvième entraîneur de Ligue 1 à céder la place cette saison. Il laisse le souvenir d’une élégance fragile, dandy perdu sur les terrains boueux comme Antinoüs dans la fange du Nil, déjà parti avant d’arriver. Pour le remplacer au chevet d’un Toulouse FC aux portes de la relégation, Pascal Dupraz, qui n’a pas oublié son bonnet pour sa première séance d’entraînement. Les hivers toulousains sont parfois humides, mais le bonnet de Dupraz produit sous ces climats méridionaux le même effet décontextualisé que la chemise blanche d’Hervé Renard à Lille : un décalage porteur de sens, qui convertit le vêtement en symbole. (Lire l'article)
Chambre d’écho
Au cinéma, rien n’est plus ardu que de faire rire en version originale sous-titrée. Parce qu’il est difficile, déjà, de faire rire en traduction. Dans le cas du sous-titrage de film, aux problèmes communs à toute traduction s’ajoutent des contraintes techniques (rythme et concision) et une particularité propre : la confrontation de la traduction (à lire), de la version originale (à entendre) et de l’image (à voir).
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Voltaire gentil, Voltaire muet
Si, par malheur, vous avez traversé par temps de pluie une place récemment réaménagée par les travaux publics parisiens, vous me comprendrez : tenir debout sur ces revêtements étrangers à toute humidification automnale est digne d’exploit. Passant récemment de la pyramide du Louvre à sa place Carrée, il m’arriva ce qui devait m’arriver : un choc attendu mais sévère. C’est alors que j’eus une vision que je pris pour un effet de mon imagination contrariée par la chute : devant moi, tandis que je me relevais péniblement, se tenait Voltaire en personne, souriant gentiment. Quelque commisération devant mon triste sort ? (Lire l'article)
Emmanuelle Richard, pour ceux qui traversent beaucoup la rue
À Emmanuel Macron, une success story enragée d'Emmanuelle Richard qui n'a pas attendu la présidentielle admonestation pour traverser les rues. Pas le choix, à vrai dire. Ainsi le premier magistrat de France pourra-t-il remédier à sa coupable désinvolture et apprendre qu'il faut toujours regarder à gauche avant de traverser.
En marge du Salon de l’agriculture
Un activiste qui dénonçait le green washing aux portes du Salon de l'agriculture a été interpellé. Ses affiches confisquées. Celle que nous avons pu nous procurer montre bien à quel niveau lamentable en est arrivé le débat public.
Création à la Philharmonie
Qui ne connaît le grand chef d'orchestre Jacques Ouphaine ? En revanche, on connaît moins le compositeur et à quel point il est aussi un immense trompettiste.
À pichets fermés
AVIS AU PUBLIC Afin d'éviter le renouvellement des récents dérapages, tous les matchs se...
Inéligibilité
NOUS AVONS ÉCOUTÉ LA RADIO POUR VOUS Sur 100 “occurrences“: 36 “inéligibité“ 24 “inégilibité“...











