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La Nuit de la traduction
Après son installation aux Plateaux Sauvages, au cœur de Ménilmontant, la Maison Antoine Vitez,...
Paris ville ouverte
À une semaine de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques 2024, Paris s’ouvre* au Monde !...
Un nouveau siècle des Lumières
Emmanuel Macron a pris la décision de dissoudre l’Assemblée car “les défis exigent la clarté...
Coran
Chaque année je demande à mes élèves de m’indiquer sur une fiche leurs lectures, quelles qu’elles soient, littéraires, philosophiques ou illustrées. Dans cette classe la plupart reconnaissent n’avoir rien lu en dehors des quelques extraits d’œuvres imposés en classe de première. Une élève pourtant me tend sa fiche avec fierté. Elle a lu le Coran, affirme-t-elle. (Lire l'article)
Quelques heures après
Quelques heures après l’annonce officielle du décès du Pape François, notre correspondant à...
Confidences sur l’oreillette
"Si je ne suis pas reconduit à mon poste, l’annus 2024 en plus d’être bissextilis sera...
Quelque chose de Beckett
Enseigner est une drôle d’expérience. Quelle que soit votre état de fatigue ou de santé, votre envie ou non de travailler, vos problèmes personnels, vos amours, quelle que soit votre condition, il faut faire cours. Cette contrainte qui pourrait être insupportable est en réalité ce qui transporte un professeur. (Lire l'article)
Inéligibilité
NOUS AVONS ÉCOUTÉ LA RADIO POUR VOUS Sur 100 “occurrences“: 36 “inéligibité“ 24 “inégilibité“...
Jean-Pierre Martin pour Pauline Camille
La honte est, selon Jean-Pierre Martin, l’un des grands ressorts de la littérature. À l’heure où les Américains se jettent sur 1984 de Georges Orwell pour essayer de cerner au mieux les agissements de leur président et ses fameux “faits alternatifs” ; à l’heure où en France la saga Fillon compte plus de rebondissements et de révélations dantesques que la plus audacieuse des séries américaines ; à l’heure, donc, où la réalité semble avoir clairement dépassé la fiction, il est plus que jamais nécessaire de chercher dans la littérature ce que la réalité veut dire. (Lire l'article)
La fin du monde du siècle
Marée du siècle, tempête du siècle, ouragan du siècle... Nous n'étions pas au bout du sensationnalisme...
Une molaire ne vient jamais seule
Une molaire ne vient jamais seule! Dicton populaire empreint de (dent de ?) sagesse. Quand il...
Une émouvante cérémonie
La maire de Paris a inauguré au Jardin des Plantes une sculpture en verre à la gloire d’Élias Karys, le célèbre géodrilologue disparu l'an dernier.
Je suis une serial…
Ah mais, parce que moi, vous comprenez, on me dit: vous le trahissez, ou tu le trahis, c’est de la trahison, c’est vrai, on peut dire que je le trahis, mais au fond, moi, je ne veux pas, je ne veux pas le trahir, ce n’est pas mon intention, parce que trahir, c’est déjà trop, c’est en faire trop, je reste à ma place, moi, si je le trahis, ce n’est pas volontaire, rien à voir avec la bonne vraie trahison, la vieille grande trahison. Pas de génie qui ne trahisse, alors, trahison, hein, trahison!
Compte à rebours
Le 17 avril, nous nous étions fixé 100 jours pour rédiger une brève. Désolés pour nos...
Selfie Line
Sur la célèbre selfie line du pont d’Iéna, des concurrent·e·s aux très attendues épreuves...
À se tordre de rire
Tous les matins, ça recommence, à l’heure du petit déjeuner, c’est-à-dire à l’heure où l’on...
Un projet lumineux pour salle obscure
Depuis l’épidémie de covid, le public – devenu pantouflard (nous ne le félicitons pas!) – n’a...
Doit-on réécrire le passé ?
En mars dernier, à la Sorbonne, le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) et l’UNEF s’opposaient par la force à la représentation des Suppliantes d’Eschyle au motif que certains acteurs blancs portaient un masque noir : le délit de "blackface" leur semblait établi. Or, il s'agit d’une pièce sur la tolérance et l’accueil de l’étranger et le masque noir vient seulement ici rendre visible la différence de l’autre. Sans compter que le port du masque est une constante de la tragédie grecque où les rôles féminins étaient joués par des hommes travestis. S'élever contre une mise en scène "racialiste" est donc absurde. La censure exercée par le CRAN et l’UNEF est caractéristique d’une tendance lourde de notre époque : le désir de réécrire le passé afin de le rendre conforme à notre sensibilité ou à nos mentalités. (Lire l'article)














