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Le designer Guus Grappenmaker et la nutritionniste Régine Sancelle avaient joint leurs efforts pour trouver enfin l’emballage comestible parfait qui règlerait une fois pour toutes leur accumulation de plus en plus incontrôlable.
Ils y sont presque parvenus. Toutefois, deux problèmes demeurent. Le premier est que sa fragilité ne lui permet pas de contenir quoi que ce soit*. Qu’à cela ne tienne, les deux créateurs ont décidé conjointement – en raison de sa qualité nutritive et de son goût délicieux** – de le commercialiser tel quel. On ne peut que leur donner raison.
La deuxième difficulté étant, comme nous l’avons déjà dit, la fragilité de leur produit, ils ne pouvaient se résoudre à l’emballer dans lui-même. Il leur a donc fallu recourir à un emballage classique.
Nul doute que deux esprits aussi inventifs ne trouvent rapidement une solution à ces problèmes, somme toute assez marginaux.
Une chroniqueuse***
Choses revues
* Nous signalons à nos lectrices vigilantes (les plus nombreuses) que si ce produit ne peut rien contenir – un des principaux reproches qui lui sont faits – il ne contient pas non plus de gluten !
** « Ah ! Cet arrière-bout de fruits des bois. À se damner ! »
*** dont l’avis n’engage qu’elle.
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