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1971
Pour 1971, le mot d’ordre des Urbains est clair et sans équivoque : résister. Résister comme en...
Into the pool
Une piscine, un paysage presque vide avec la mer en ligne de fond. Dans Into the pool, le cinéaste Julien Devaux se jette à l'eau, au propre comme au figuré. Et rend hommage avec humour à l'artiste néerlandais Bas Jan Ader.
2018
De nouveaux ennemis menaçants sont apparus. Ils ont nom glyphosate et particules fines, d’un côté, leucémie, embolie et alzheimer, de l’autre.
Crayonné
les poèmes des rue de Paris s’écrivent à l’encre mêlée des caniveaux où les balayeurs poussent...
1973
La gauche a enfin un programme commun signé en 1972. La société change, la parole se libère et,...
Gyula
J'ai rencontré Brassaï pour la première fois en 1976. Nous étions membres de la même association de photographes qu'on disait alors illustrateurs, ceux qui ne pouvaient prétendre au statut de journaliste, maintenant nommé photojournaliste. Brassaï n'était pas très à l'aise avec les règlements administratifs et l'association l'avait aidé à s'inscrire à la sécurité sociale des auteurs qui venait d'être officiellement créée. L'amitié née de l'entraide associative m'a permis de mieux connaître Brassaï. Le 24 décembre 1978, il m'a offert une photographie dont voici l'histoire... (Lire l'article)
Kaïros
c’est un matin d’hiver ordinaire on est
sur la pente de la nuit qui mène
au travail on se demande
mais un instant
à quelle classe
moyenne on appartient et puis
Passée la cérémonie
Passée la cérémonie d’ouverture les palmiers ne sont plus surveillés, mais leur circulation est...
Le cacophonès
Contrairement à ce que son nom pourrait laisser entendre, le cacophonès a l'oreille absolue. Grand imitateur des voix humaines, il possède un talent exceptionnel pour le chant et une mémoire confondante. Son registre semble infini. Son cou également.
Particulièrement emballé !
Le Général De Gaulle supervise les dernières installations.
Sur les quais
C’est à un impressionnant contingent venu tout spécialement d’Inde qu’échoit la délicate...
Nostra Maxima Culpa
Nous avons publié hier par erreur une photo – spectaculaire certes, mais hélas accompagnée d’un...
Dorothea
Dorothea, je t'ai connue en 1969 quand j'ai déniché sur un rayon perché d'une librairie maintenant disparue, cédée au luxe parisien, An American Exodus, la réédition que ton mari Paul Schuster Taylor et l'Oakland Museum venaient de publier. C'était peu de temps après ton décès en 1965. Cette photographie d'une grand-mère mexicaine ramassant des tomates date de 1938. Tu l'as faite en Californie mais elle ne figure pas dans la très belle exposition que te consacre le Jeu de Paume jusqu'au 27 janvier 2019 sous le titre « Dorothea Lange, politique du visible ». (Lire l'article)
Une impatience palpable
Lasse d’attendre depuis des jours les premiers spectateurs, une statue du jardin des Tuileries...
Eugène
Si tu es sur mon mur, Eugène, on peut dire que c'est une des conséquences les plus marquantes de mai 68, pour mon mur... C'est bien toi, Eugène, qui as inspiré le titre de cette série abritée par délibéré, et ta photographie est l'œuvre de Nadar, épinglée parmi d'autres regrets de jungle. Eugène Carrière avait cinquante-sept ans le jour où Nadar éclaira les draps blancs de son lit de mort. “S'il est un devoir pénible dans la photographie professionnelle, écrivait Nadar, c'est l'obligée soumission à ces appels funéraires – qui ne se remettent pas...” Le temps a eu raison de ce devoir-là ; peut-être l'évolution des techniques permettra-t-elle bientôt au photographe de se selfier sur son lit de mort. (Lire l'article)
délibéré … vu par Clo’e
Vu par la dessinatrice Clo'e : délibéré, ça ne ressemble à rien... d'autre
Le babouin véloce de Gambie
À la course contre le guépard, le babouin véloce est toujours vainqueur. Ce cercopithèque se plaît ensuite à se moquer de ses adversaires malheureux. Il rit, il rit, d'un rire assez déplaisant.
Vers une plus haute marche
À l’entrée du pont d’Iéna, le farouche guerrier gaulois d’Auguste Préault et l’ombrageux...


















