La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés.

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2006 - Les Zurbains vous souhaitent une excellente nouvelle année © Famille urbain
Les vœux des Z'Urbains

2006

De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles racontent cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Les vœux des Z'Urbains 1993 © Famille Urbain
Les vœux des Z'Urbains

1993

De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles offrent un parcours à travers cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Les vœux des Zurbains - 1992 © Famille Urbain
Les vœux des Z'Urbains

1992

De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles offrent un parcours à travers cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
2001 - Les Zurbains vous souhaitent une excellente nouvelle année © Famille urbain
Les vœux des Z'Urbains

2001

De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles racontent cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Les vœux des Zurbains - 1991
Les vœux des Z'Urbains

1991

De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles offrent un parcours à travers cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Les vœux des Z'Urbains

1976

Comme on s’installe dans la monotonie des années Giscard, Michel Urbain varie sa charte graphique assez radicalement et retourne à l’imitation des classiques.

Finement con de nuit - Microscopies © Frédéric Teillard
Microscopies

Finement con de nuit

puisqu’on ne peut plus qu’on n’en peut plus après vingt-et-une heures traverser la rue j’arrive chez mes voisins avec mes cordes et mes tuyaux de poésie d’improvisation de composition instantanée ils me reçoivent au fond de leurs pantoufles