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Contrôle inopiné (conclave, 3)
Pour la première fois dans l’histoire du Vatican, tous les conclavistes seront susceptibles...
Ça ira
Hier, ayant travaillé toute la journée à quelque opus posthume, profitant de la douceur de...
Sarko sans bracelet
Nicolas Sarkozy débarrassé de son bracelet électronique. Je vais enfin pouvoir “reprendre le...
Anatomie de la folle lyrique pour Maria Callas
Maria Callas est en grande souffrance, elle supporte mal le poids de la passion qu'elle suscite chez ses admirateurs. Le traitement qui la sauvera peut-être est signé Wayne Koestenbaum.
Singe-Nitouche
Une bioacousticienne du Muséum d’Histoire Naturelle s’est rendue dans plusieurs stades de foot pour y enregistrer les cris poussés par les supporters.
J21 – La ligne Maginot au pouvoir
Cette saison, la Ligue 1 peut s’enorgueillir du meilleur dribbleur d’Europe, loin devant les Barcelonais Neymar et Lionel Messi : Hatem Ben Arfa. Seulement voilà, c’est un astre solitaire, une étoile filante sur un ciel immobile, et sa réaction après la difficile victoire de Nice face à Angers pourrait s’appliquer à l’ensemble du championnat : comment peut-on prendre du plaisir à jouer aussi défensif ? À l’heure où la Ligue prône le spectacle, on peut s’étonner de cette tendance défensive du football français, et y chercher des explications complexes. Pourtant, une seule suffit : les chiens ne font pas des chats. (Lire l'article)
Curieuse volèrution
Sur les immeubles de nos villes, disparus les volets battants pleins, à barres et écharpes, les volets provençaux ou dauphinois, les volets persiennés, simples, mixtes ou niçois! Quelle que soit la région où vous vous trouvez, depuis des années, les volets ne sont plus que roulants ou coulissants... voire postiches.
Dernières consultations
Avant son intervention télévisée de ce soir, Emmanuel Macron reçoit à l’Élysée les principaux...
Une planète d’avance
C’est un nouveau camouflet – et de taille – que viennent d’essuyer Donald Trump, Elon Musk et...
Bricolage fatal
“Pour se venger de sa mère, il tue son chat à coups de marteau.” Un fait divers, c’est d’abord un titre. Qui, en général, suffit à donner une idée précise de l’affaire. Nous tenons ici un cas remarquable de concision. Une mère, un fils, un chat, un marteau. À partir de ces quatre éléments et de deux verbes (venger et tuer), il est possible de développer une combinatoire extrêmement riche, dont tous les produits n’auront cependant pas la même plausibilité. (Lire l'article)
Le Meta Club
Un résident célèbre de l’hôtel Aleph est le grand mathématicien et philosophe britannique Bertrand Russel, troisième comte du nom – un nom qui compte. Avant de prendre ses quartiers à l’hôtel, Russel vécut parmi nous presqu’un siècle, de 1872 à 1970 – le temps pour lui, entre autres petites choses, de cofonder la logique mathématique moderne, de contribuer à la philosophie des sciences, de passer six mois en prison pour pacifisme, d'épouser quatre femmes et de remporter un prix Nobel de littérature. Russel est le fondateur du Meta Club. (Lire la suite)
Les mathémagies de Martin Gardner
Vulgarisateur de génie, magicien, grand ennemi des charlatans, Martin Gardner était un explorateur passionné et passionnant du territoire mathématique. La preuve par trois de ses casse-têtes, l'hexaflexagone (qui rappelle les cocottes en papier de notre enfance), le jeu de la vie (à partir d'une grille et de pions qui prolifèrent ou disparaissent selon leur position), et un tour de cartes dont nous vous fournirons la solution la semaine prochaine. Qui a dit que les mathématiques n'étaient pas amusantes ?
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Fragments d’un discours politique
Dans les Fragments d’un discours amoureux, Barthes constate que “le discours amoureux est aujourd’hui d’une extrême solitude. Ce discours est peut-être parlé par des milliers de sujets (qui le sait ?) mais il n’est soutenu par personne; il est […] ignoré, ou déprécié, ou moqué…” Un peu plus loin, Barthes note que le discours amoureux est devenu inactuel. Le livre paraît en 1977. Les choses n’ont cependant guère changé. Peut-être en va-t-il de même du discours politique. Nos hommes d’État et leurs ministres donnent souvent l’impression de parler dans le vide, non qu’il n’y ait personne en face d’eux pour les applaudir mais parce que personne ne les prend plus vraiment au sérieux. Le discours politique est pourtant un des nerfs de la démocratie. Doit-on alors conclure qu’avec le déclin de la parole politique s’amorce celui de nos régimes ? (Lire l'article)
#Européennes2024 – Le grand retour de la dédiabolisation
Dans les états-majors des différentes formations politiques, on prépare déjà ardemment cette...
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Chroniques du mobilhome (3)
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Avant-première
Nos envoyés spéciaux au jardin des Tuileries ont eu la chance d’assister aux dernières mises au...
Voilà
Le soir du premier tour, arrivé en tête, il a dit : « Voilà. » Deux fois. Qu'a-t-il voulu dire par là ? Pour mieux comprendre, essayons de traduire. Oui mais comment traduire « voilà », ce « verbe défectif réduit à la forme unipersonnelle du présent de l'indicatif de l'aspect inaccompli », qui semble vouloir dire pas mal de choses et leur contraire ? (Lire l'article)














