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En attendant des jours meilleurs
Dépassés par la gravité des événements récents, nous appelons de nos vœux un retour rapide à...
Changement d’heure: innovation et simplicité
Le passage à l’heure d’hiver (une appellation erronée puisqu’il s’agit en fait du retour à...
Au bout de la Nationale 7
Les mathématiciens détestent les nombres imposés arbitrairement, et parmi eux le nombre de dimensions de l’espace : trois. Hauteur, largeur, épaisseur (ou bien : latitude, longitude, altitude). Ce diktat de trois dimensions, pas plus pas moins, est insupportable au matheux, qui va immédiatement se faire un plaisir d’imaginer autre chose. Pourquoi pas deux dimensions, ou quatre ? pourquoi pas une infinité ? Pourquoi pas, même, 3/2 ou Pi ? Et un espace à zéro dimension ? Pas très excitant, on s'y sent vite à l'étroit. Et un espace de dimension un ? Tout point y est identifié par une seule coordonnée, par exemple un nombre. C’est ce qui se passe sur la mythique Nationale 7. (Lire l'article)
À ceux qui tremblent encore (Carlos Ghosn n’est pas concerné), Des gens comme eux
Dans le dernier roman de Samira Sedira, cinq membres d’une même famille sont tués par un voisin dans un village, quelque part en France. Que faire d’un tel fait divers ?
Vers l’apaisement ?
L’idée belle et généreuse proposée par Joe Biden à l’intention de son malheureux prédécesseur devrait satisfaire les deux parties et apaiser la tension toujours très vive outre-Atlantique. Idée doublée d’une prouesse technique extraordinaire qu'il convient de saluer.
Halloween… oh, non
Disons-le, nous n'avons jamais aimé Halloween. Cette année, moins encore.
Bill Vuzay prend de la hauteur
C’est le jour où Thomas Pesquet doit rejoindre la station spatiale internationale grâce à la fusée Falcon, que nous avons choisi de rencontrer Bill Vuzay, le grand rival du patron de SpaceX.
Ça ira
Hier, ayant travaillé toute la journée à quelque opus posthume, profitant de la douceur de...
La science sur les dents
Nous vous parlions récemment d’un patient extrêmement productif au point de se trouver dans la...
Dick pics et ça fait mal
Au début, il y a une bite. Ou plutôt, une photo de bite. Anonyme. Envoyée à une de mes connaissances sur les réseaux. La chose s’appelle une dick pic. Des hommes en envoient généralement à des femmes, sans que celles-ci aient demandé quoi que ce soit – un comportement étrange, directement en lien avec les applis et les réseaux sociaux. Les filles en parlent entre elles sur le registre "ah oui, toi aussi ?"... il y en a même qui en ont fait la base de leur activité professionnelle.
Langues vivantes
Préparant notre revue de presse du weekend et abattu par la chaleur qui nous a tiré du lit...
Trump-couillon
Après le trompe-couillon, découvrez dans notre supplément du week-end le dernier jeu qui fait...
Legosophie, petite philosophie du lego, pour Monsieur Maçon
Un patient s’en prend aux murs de l’hôpital qui l’accueille, tout en prétendant construire en son toit une flèche gothique. Son mal est bien difficile à guérir, surtout dans un hôpital en ruines. Mais le service de Médecine littéraire n’a pas dit son dernier mot.
Les Joyeux Bouchers
Le monde court à sa perte. Chacun de nous en a conscience, plus ou moins : réchauffement climatique, disparition accélérée des espèces animales et végétales, raréfaction des ressources naturelles, dissémination des matières fissiles, mort des utopies politiques, montée subséquente des populismes et des intégrismes, prise du pouvoir par l’intelligence artificielle dessinent un horizon que personne ne voit rose. “Signes précurseurs de la fin du monde” : chaque semaine, l’Apocalypse en cinquante leçons et chansons. Ou peut-être moins si elle survenait plus tôt que prévu. (Lire l'article)
Vous êtes sournois?
VOUS ÊTES SOURNOIS ? COMMANDEZ DONC NOS AMPLES CAPES! VOUS POURREZ AINSI RIRE DE VOS AMIS… SANS...
Castles Made of Sand
À quel moment l’avenir a-t-il cessé d’être désirable ? Quand a-t-on perdu foi en de meilleurs lendemains ? À quel instant la catastrophe a-elle commencé à se dessiner ? Certains répondront les années 1970, avec les premières crises pétrolières, les pantalons à pattes d’eph’ et l’invasion du disco. D’autres diront : les années 80 et leurs efforts pathétiques pour nous redonner le goût de la modernité (“nouveau et intéressant” était le motto de la période, qu’il fallait évidemment lire à rebours). D’autres enfin affirmeront : les années 90 et leur cynisme cocaïné. Pour ma part, je situerais plutôt le début de la fin au 31 décembre 1969, à minuit exactement. Ce jour-là, à cette heure-là, Jimi Hendrix débarque sur la scène du Fillmore East... (Lire la suite)
Poireaux
Hugo : Savez-vous quel est mon souhait le plus cher, mon vieux Dumas ? / Alexandre Dumas : Sortir de cette crypte ? / Hugo : Non. Manger des poireaux. / Dumas : Là où nous sommes, c’est par la racine qu’il faudra les manger. Mais je m’étonne que vous me parliez de poireaux quand, dehors, le chaos et le populisme semblent s’installer partout. (Lire l'article)
#Strasbourg : la cacophonie et la fureur
C'est un début de soirée d'hiver, les empoignades post-discours présidentiel battent leur plein...
















