- Tous les articles
- ABéCéDaire
- Brest 1982-1992
- Coloriage
- Daniel Vierge
- Edwin Austin Abbey
- Entomologie photographique
- Gregg Ellis, séries photographiques
- Heinrich Kley
- JO 2024
- Le chaland de Venise
- Leçons de...
- Les vœux des Z'Urbains
- Londres 1976
- Machines à voir
- Microscopies
- Paris porte à porte
- Trotsky, photos inédites
- Vie et mort à Venise
- Vu par Clo'e
Eugène
Si tu es sur mon mur, Eugène, on peut dire que c'est une des conséquences les plus marquantes de mai 68, pour mon mur... C'est bien toi, Eugène, qui as inspiré le titre de cette série abritée par délibéré, et ta photographie est l'œuvre de Nadar, épinglée parmi d'autres regrets de jungle. Eugène Carrière avait cinquante-sept ans le jour où Nadar éclaira les draps blancs de son lit de mort. “S'il est un devoir pénible dans la photographie professionnelle, écrivait Nadar, c'est l'obligée soumission à ces appels funéraires – qui ne se remettent pas...” Le temps a eu raison de ce devoir-là ; peut-être l'évolution des techniques permettra-t-elle bientôt au photographe de se selfier sur son lit de mort. (Lire l'article)
Il était dix-huit négatifs…
Pendant plus de quarante ans, Gilles Walusinski a conservé la pochette que lui avait remise son père et qui contenait dix-huit négatifs représentant Trotsky et ses proches au Mexique. Pour lui, ces photos ne sont pas seulement des documents historiques mais une clé qui ouvre sur sa propre histoire, sur celle de son père, Gilbert Walusinski, et de toute une génération de militants révolutionnaires anti-staliniens, regroupés autour du journal La Révolution prolétarienne, animé par Pierre Monatte et Alfred Rosmer. Vieil ami de Trotsky, Rosmer avait prêté en novembre 1938 sa maison de Périgny en région parisienne pour la réunion de fondation de la IVe Internationale. Une maison où Gilles Walusinski enfant a souvent séjourné dans les années cinquante.
La lupée changeante
Ce crustacé d'une longévité exceptionnelle s'allonge de mue en mue, à la manière d'une anamorphose optique. Au fil des ans, la carapace des lupées s'assombrit et s'orne de motifs toujours plus nombreux. Dommage que sa chair soit si fade.
délibéré … vu par Clo’e
Vu par la dessinatrice Clo'e : délibéré, ça ne ressemble à rien... d'autre
Confusion possible
Bien que ces joyeux touristes nous autorisassent à immortaliser cet instant, certain détail...
Le foutriquet royal
Aussi bête qu'un sponk, plus prétentieux qu'un lamagal, il mérite les attributs qui lui sont couramment consacrés : faraud, poseur, fat, crâneur, outrecuidant... Regardez-le donc parader sur la banquise avec cet air hautain qui ne le quitte jamais, déclenchant l'hilarité des pons-pons.
Circuit court
fondu les plombs
trouver la lumière dans la chair
d’une courge dans
l’aveu que font à demi
les pétales des renoncules
dans ce qu’il reste à découvert
des visages
Le diabolin
Un nouveau coloriage pour enfants – et adultes – confinés. Aujourd'hui, le diabolin, ou manis longispinis, probablement le seul mammifère pholidote à ne pas être menacé d'extinction. Il est le seul manidé dont les écailles changent de couleur en fonction des milieux dans lesquels il évolue.
La FIAC vue par Clo’e
La Foire internationale d’art contemporain, du 22 au 25 octobre 2015 à Paris, vue par la dessinatrice Clo'e, dans délibéré.
2013
De 1962 à 2018, Michel Urbain et Françoise Urbain-Lambert ont envoyé à leurs proches des cartes de vœux. Moitié chronique familiale, moitié dessin d’actualité, elles racontent cinquante ans d’histoire politique, sociale et humaine.
Triplé français
C’est sous haute surveillance qu’a eu lieu hier soir la première épreuve des Jeux de Paris...
Lecture rythmique
Lecture rythmique, de l'artiste vénézuélien Iván Candeo, confronte des images et un texte a priori sans rapport. Gestuelle de discours politique et recette de cuisine sont seulement unies par le rythme pour créer, avec humour, un troisième langage.
Crayonné
les poèmes des rue de Paris s’écrivent à l’encre mêlée des caniveaux où les balayeurs poussent...
Bonne année des Beatles !
Gregg Ellis, Séries Photographiques. Saison 2, épisode 4


















