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Remplacer les énergies fossiles par de nouvelles pompes
On le sait à présent, il va falloir faire des économies d’énergie en baissant le chauffage...
Stigmates (II)
Le Dormeur du Val, avec ses deux trous rouges au côté droit, ne serait-il pas un saint ? Et d'abord, que sont donc ces deux trous ? Comme toujours, les mots en disent davantage que ce que l’on pense.
Pas au bout de la fin
On connaissait le pop-art, le op-art, le land-art... voici maintenant le PQ-art. Certaines œuvres s'arrachent à prix d'or. Pour éviter une contamination par contact des poignées, la mairie de Paris envisage d'imposer l'ouverture de toutes les portes...
Température critique
Si les riches sont riches, c’est qu’ils méritent de l’être. Ils sont plus malins, plus travailleurs, prennent plus de risques. Une étude récente vient mettre à mal de façon spectaculaire cette croyance qui percole sous une forme ou sous une autre dans toutes les couches de la société.
Qu’est-ce que tu dis?
Brève n°105 pour 2 violons par Amaryllis Billet et Rachel Givelet
La main qui fuma
La main flottait, prenant appui sur l’air ambiant. La cigarette ne pesait rien ou si peu, tenue avec négligence ou insouciance. Lauren Bacall, Juliette Gréco, Pina Bausch, Marguerite Duras, Carmen Amaya ont manié la cigarette comme d’autres manient l’éventail. Désormais, on pipe plastique. On vapote avec au bout des lèvres des engins prêts à vous démonter le poignet. (Lire la suite)
Maïa Mazaurette, à trous les coups
Sortir du trou. Lever la tête: le dernier essai de Maïa Mazaurette défend l'idée d'une sexualité moins obsédée par la pénétration. Ce qui lui vaut des tombereaux d'insultes sur les réseaux sociaux.
Toujours mieux équipés (suite)
Afin de mieux suivre pour vous les réactions aux derniers développements du débat sur la très...
Coupe gratuite
Réagissant à l’image – plus exactement la photo – diffusée hier, Horace Gratys, le célèbre...
8
Ma question d’exploration urbaine du jour : comment marche-t-on à New York le dimanche ? D'abord tout est ouvert, c'est frappant... (Lire l'article)
Grandes pompes
Hier, Charles III a été couronné en grandes pompes sans – à notre grande surprise - qu’aucun...
La chasse aux ballerines
Comme chaque vendredi, nous nous rendons au marché place de la mairie. À la recherche d’une...
Retour à Birkenau pour Julien Odoul (et Nadine Morano)
Les urgences littéraires sont débordées par une épidémie de haine raciste. Julien Odoul, en soins palliatifs, se voit prescrire le livre de Ginette Kolinka et Marion Ruggieri.
Souffler du vent
En France, on ne brasse pas que du vent Une des plus fréquentes critiques émises à leur endroit...
L’affaire Boudini
Le soir du 16 mars, tout avait commencé comme à l’habitude. Madame Danuta était alors allongée dans sa caisse. N’apparaissait plus d’elle que sa tête aux yeux bandés à gauche et ses pieds à droite...
Le style et la structure
Avec Scarlatti, les musicologues disposent d'un cas d'école : ce Napolitain vivant à Lisbonne puis à Madrid n'a cessé de mélanger les styles — italien et espagnol, mais aussi les goûts français et allemand — comme il a joyeusement mélangé les motifs musicaux de ses sonates. Démêler les styles et les structures imbriqués dans les sonates est le secret du bonheur scarlattien, mais l'éducation musicale, par tradition, ne met l'accent que sur le style. C'est dommage, car c'est réducteur. Prenez par exemple un prestigieux pianiste, chef d'orchestre et grand scarlattien, Christian Zacharias. Prenez ensuite une sonate au hasard, la 193 par exemple, et demandez-lui ce qu'il entend. (Lire l'article)
Street Fighting Man
23 mars 2029. Il fait un temps pourri depuis des semaines mais, coup de chance, nous venons de trouver une bâche en plastique dans les décombres d’une zone commerciale. On est vaguement à l’abri là-dessous, et puis cela permet de récupérer un peu d’eau de pluie. Les types qui ont installé leur campement de l’autre côté du bois ont l’air calme depuis quelques jours, mais comme ils ont égorgé Jean-Philippe la semaine dernière, nous nous méfions. J’ai instauré un tour de garde, surtout pour le principe car nous n’avons pas vraiment d’armes pour nous défendre. Les cartouches que nous avions récupérées dans l’armurerie de Coutances sont épuisées depuis belle lurette, et la crosse du fusil, seul morceau de bois sec qui nous restait, est passée dans le feu... (Lire la suite)