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Remerciements
Cher Monsieur Duplomb, nos pancréas vous remercient vivement, nos poumons vous saluent bien...
Accuser le coup
Après un déferlement de poings levés lors de la campagne made in USA et de la victoire de Donald Trump, nous sommes franchement tristes pour les boxeurs. Ils se sont fait voler leur job. Déjà que leur carrière était courte (comme celle de la plupart des danseurs), il leur faut accepter d’être dépossédés de leur langage corporel. Le coup bas est galvaudé, quelques États se sont emparés du swing avec peu de panache, l’uppercut est devenu monnaie courante et, apparemment l’art de l’esquive est aux oubliettes. (Lire l'article)
Une actualité brûlante
Un homme d’une trentaine d’années a été interpellé hier alors même qu’il s’apprêtait à mettre...
Grippe aviaire: vaccination (suite)
SUITES DE LA VACCINATION CONTRE LA GRIPPE AVIAIRE NOUVEAUX EFFETS INDÉSIRABLES Les canards du...
Brèves de confinement
Claquemuré depuis quinze jours, il tire dans son miroir... Rentrant chez lui avec une montagne de pâtes et de papier hygiénique, il découvre que l'eau est coupée pour une durée indéterminée.
Ida avec flèches
Échoué à Arcachon comme Hugo à Guernesey, le très scarlattien d'Annunzio affronte la dune du Pyla, les lames de l'Atlantique et quelques femmes exigeantes. Parmi elles, Ida Rubinstein, qui lui commande le livret d'un Martyre de saint Sébastien (musique de Debussy) où elle jouera Sébastien ; mais aussi Romaine Brooks, compagne d'Ida, qui l'héberge et fait son portrait, avant de le fuir et de se réfugier auprès de Natalie Barney. En 1912, Ida et Gabriele s'entraînent au tir à l'arc dans la forêt landaise. Les flèches d'Ida ne sauraient tuer personne. En revanche, celles de son “frère” Gabriele ne ratent pas le vrai Sébastien de l'histoire, Romaine Brooks. C'est aussi compliqué qu'une sonate de Scarlatti : faut suivre ! (Lire l'article)
Indice RN
AVIS À NOS LECTRICES Pendant tout l’été, nous publierons chaque jour l’indice UV de la région...
Curieuse épidémie
C’est la première fois qu’une telle chose se produit, mais – inexplicablement – toutes nos...
Politique du cassoulet
Dans le caveau XXIV du Panthéon, Victor Hugo et Alexandre Dumas se serrent autour d’un petit réchaud à gaz sur lequel chauffe une boîte de cassoulet. La lecture des ingrédients les laisse perplexes. La campagne présidentielle aussi. Hugo a une explication à la "folie des gens" : "N’est-ce pas parce qu’ils se nourrissent tous avec des polyphosphates hydrosolubles amorphes ?". Dumas quant à lui aimerait "tout de même voir la tête du bulletin Mélenchon". (Lire le dialogue)
Prix plancher des vaches
Au dernier jour du salon –une édition chaotique!– de l’agriculture 2024, nous avons eu la...
Retour à l’envoyeur
“Un soldat américain décède en Irak touché à la tête par une balle retombant du ciel.” Il arrive que, dans de grands moments de joie, certains se saisissent d’une Kalachnikov et tirent follement des coups de feu en l’air. La pratique n’est pas sans danger : une balle peut retomber sur la tête de quelqu’un. Et ces balles “lentes”, qui bourdonnent comme des frelons, font des dégâts considérables quand elles touchent le crâne. (Lire l'article)
Droit de réponse
Il y a quelques jours, nous ironisions dans nos pages (pages 5. NDLR) sur cette nouvelle mode...
Aux chiottes l’arbitre !
Il arrive, lors d’un match de foot ou de rugby, que l’arbitre soit invité par une partie du public à se rendre aux toilettes. Cela signifie généralement qu'une de ses décisions est contestée, mais cela ne dit pas ce que l’intéressé est censé faire aux chiottes.
La poussette infanticide
Les poussettes que certaines dames mères appellent des 4/4 n’hésitent pas à nous rouler sur les pieds ou à nous flanquer des coups dans les mollets. Mais il y a mieux encore. Propulsées sans frein sur la chaussée et sensées protéger la conductrice, se renversant dans les escaliers roulant, projetant des paquets, la plupart du temps des enfants mais aussi des colis suspects, elles sont des engins infanticides non déclarés. (Lire la suite)
Pays de Galles-Irlande du Nord : Zizou président !
À l’écran, le stade est une cathédrale illuminée où les hommes rendent grâce au veau d’or. La caméra explore les gradins. Les bipèdes font de grands signes cabalistiques. Certains visages arborent d’étonnantes compositions colorées. Les bouches hurlent des chants guerriers. Une houle profonde agite la masse. Gros plan sur les joueurs suants qui se congratulent et s’étreignent. Les commentateurs, qui sont aussi pertinents que mon cousin Robert, reviennent pour la vingtième fois sur les moments forts de cette soirée historique. (Lire l'article)
Mon semblable
BlaKkKlansman, le dernier film de Spike Lee, sorti en salles le 22 août, traite sur le mode de la comédie du racisme purulent aux États-Unis. Adapté d’une histoire vraie, le film raconte comment un policier noir réussit à infiltrer le Ku Klux Klan à l’aide d’une ruse qui vaut bien celles d’Ulysse. L’action se situe dans les années 1970, époque du Black Power, époque aussi où le Ku Klux Klan, bien qu’il n’ait plus d’existence légale, continue de mener des actions d’intimidation à l’égard des Noirs. Pourtant au-delà du portrait féroce et burlesque des hommes de cette organisation raciste, suprémaciste et identitaire, c’est l’Amérique de Trump qui est directement visée par Spike Lee comme en témoignent les quelques “great America” que se lancent régulièrement les adeptes du Klan. L'occasion de s'interroger sur ce que nous appelons “mon semblable”. (Lire l'article)
Kelly Rivière remonte à la source
À partir d'un secret de famille (un grand-père irlandais disparu dont personne ne veut parler), Kelly Rivière, seule en scène, offre une hilarante pièce intime solidement construite. Dans sa quête des origines, elle passe sans cesse d'une langue à l'autre, jusqu'à brouiller les repères, comme si les barrières linguistiques étaient emportées par le flux de son histoire. Une incertitude linguistique qui fait écho aux incertitudes d'un final qui laisse beaucoup plus de questions que de réponses.
Incompressible
Sept femmes accusent l’abbé Pierre d’aggressions sexuelles. S’il était reconnu coupable, l’abbé...














