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Light Metal
La décision du préfet de la région Pays de la Loire ne passe pas. En raison de la canicule...
Manifesto de Léonor de Récondo pour les “acteurs” (vous, moi, etc.)
Soyons sérieux. Ou soyons fous. Lisons. Manifesto, de Léonor de Récondo (publié chez Sabine Wespieser). Pour redonner du sens, se rappeler que l’on peut vivre pour de vrai. Et mourir, aussi. Et que la vie n’est pas "qu’un récit conté par un idiot, plein de bruit et de fureur, et qui ne signifie rien", comme certains discours pourraient le suggérer. Oui, certaines lectures sont comme un remède à l’inconsistance… (Lire l'article)
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J'ai fait une belle balade aujourd'hui, en partant dans le froid encore enneigé pour récupérer la tombée du jour pile poil au milieu de Brooklyn Bridge. (Lire l'article)
Un nouveau sport qui fait fureur
Le egg-pong : un nouveau sport qui fait fureur. Le tennis de table de papa sera-t-il bientôt détrôné ?
[Disparition] Maurice Lepoil, peintre
Au moment de boucler notre premier numéro de l’année, nous apprenons la disparition de Maurice...
Bob Dylan
Enfant, Bob Dylan était toujours en train de courir. Il fugue pour la première fois quand il a 10 ans, part de la maison définitivement à l’âge de 18 ans pour s’installer à New York. “C’était comme si j’avais toujours été à la poursuite de quelque chose, quelque chose en mouvement – une voiture, un oiseau, une feuille qui s’envole – quelque chose qui pourrait m’amener vers un endroit mieux éclairé, une terre inconnue en aval”, écrit-il dans le premier volume de ses Chroniques, publiées en 2004. Lorsque l’un de ses profs lui dit que son fils a “la nature d’un artiste”, son père demande : “Un artiste, c’est pas un gars qui peint ?” Soixante ans plus tard, Bob Dylan est prix Nobel de Littérature. (Lire l'article)
Pays de Galles-Belgique : la barbe des Gallois
Les joueurs montent et s’alignent, et la Brabançonne retentit. Des visages belges fermés. Concentrés. Courtois marmonne les paroles, peut-être un peu Meunier. Les autres fixent un point quelque part et la ferment. 20h58, Hen Wlad fy Nhadau, l’hymne gallois. Tous, Nedley, Ramsey, Williams, Bale, Robson-Kanu, ils chantent sans se retenir. Ça gueule, ça monte, ça rejoint quelques-unes des sources de la pluie très au-dessus des projecteurs du stade, très au-dessus des Hauts de France ! C’est très chaud ! Ce chant-là, il a été écrit par un barde au XIXème siècle, ça parle de la terre des pères. (Lire l'article)
Dures négociations
D’après nos dernières informations (nous avons beaucoup d’informateurs*. NDLR), le nombre des...
Libérée, délivrée…
La belle-mère de 85 ans abandonnée il y a plus d’un mois ligotée et bâillonnée au cœur de la...
Interview
Le 7 février, au lendemain de son acte de contrition et de ses "excuses", François Fillon partait à Troyes pour tenter de reprendre une campagne "normale". Las ! Il y fut accueilli par des militants communistes agitant une banderole sur laquelle on pouvait lire : "C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches." Une formule extraite de l’Homme qui rit. Victor Hugo est décidément omniprésent dans cette présidentielle. Nous sommes allés au Panthéon recueillir les commentaires du grand homme, mort et sans cesse déterré. (Lire l'article)
Une parfaite erreur de casting
Nous n’avons pas l’habitude d’écrire des articles sur les films à l’affiche. D’autres le font...
Réforme des retraites: vers une solution?
Une proposition intéressante et qui devrait mettre tout le monde d’accord vient de parvenir sur...
Numérologie
Même si les mathématiques semblent au profane qui n'y entend goutte un langage universel, l'expression quotidienne regorge de chiffres dont la traduction est loin d'être évidente. Traduire les mots, d'accord. Mais traduire les nombres, c'est parfois une autre paire de manches. Car la traduction des chiffres en général et des dates en particulier, contre toute attente, ne s'impose pas. Surtout que la traduction est parfois une question d'interprétation... (Lire l'article)
Impasse sinistre
C’est l’affichage spectaculaire qui a inondé il y a quelques mois le Val-de-Marne (94),...
Une autre vie
Supposons que la date et l’heure de la fin du monde soit connue et qu’il n’y ait plus rien d’autre à faire que de s’y préparer. Dès lors, la grande question serait : avec qui vais-je passer mes ultimes minutes ? Avec ma chère épouse ou mon cher époux ? Avec mes enfants, s'ils ne préfèrent une fête entre copains ? Avec mon chat, mon chien, mon poisson rouge, mon iPhone ? Avec personne, puisque dans le fond chacun vit seul et meurt seul ? Ou avec une ou un ami(e) ayant assez d’humour pour transformer ces derniers instants en vaste blague. Ce type d’individu ne court pas les rues. À quoi ressemble-t-il ? À Deborah Mitford, alias la duchesse de Devonshire ? À Richard Gere ? À Alain Robbe-Grillet ? Et Alain Barrière, dans tout ça ? (Lire l'article)
Le lit oui, mais en portefeuille
Un proche d’Emmanuel Macron – qui a souhaité garder l’anonymat - s’exprime: "On nous accuse de faire le lit du Rassemblement National. Peut-être, mais nous allons le faire EN PORTEFEUILLE !" Dont acte. On ne sait pas si des soirées pyjama sont prévues.
Spectaculaire revirement
Donald Trump, bousculant pour la première fois le 2ème amendement de la Constitution des...















