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Parcours sportif
Assis sur le sol de son wagon du métro ligne 9, la barre de maintien plafonnière encore à la...
Doit-on réécrire le passé ?
En mars dernier, à la Sorbonne, le CRAN (Conseil représentatif des associations noires) et l’UNEF s’opposaient par la force à la représentation des Suppliantes d’Eschyle au motif que certains acteurs blancs portaient un masque noir : le délit de "blackface" leur semblait établi. Or, il s'agit d’une pièce sur la tolérance et l’accueil de l’étranger et le masque noir vient seulement ici rendre visible la différence de l’autre. Sans compter que le port du masque est une constante de la tragédie grecque où les rôles féminins étaient joués par des hommes travestis. S'élever contre une mise en scène "racialiste" est donc absurde. La censure exercée par le CRAN et l’UNEF est caractéristique d’une tendance lourde de notre époque : le désir de réécrire le passé afin de le rendre conforme à notre sensibilité ou à nos mentalités. (Lire l'article)
L’envers du décor
Sur l’île de la Cité, les écrans géants sont encore plus grands vue de dos!
Guerre civile
Ce soir, Victor Hugo est de sortie. Petit nuage dodu de cendres, vapeur de défunt, brume de génie, il s’est glissé hors de son caveau pour aller voleter dans l’air humide de la crypte du Panthéon à la recherche d’un camarade à qui parler. Passant devant le cercueil de pierre où sont allongés les restes de Jean Jaurès, le poète entend ce dernier l’interpeller : “Salut mon vieux Victor. Nom de Dieu, as-tu lu l’interview d’Alain Juppé dans le Monde il y a quelques jours ?” Hugo : “Bonsoir, Jean. Non, je ne l’ai pas lue, je ne reçois plus la presse. On parlait de moi ?” (Lire l'article)
Fils de
On le sait peu (ou pas du tout!), mais Vincent Van gogh aurait entretenu pendant sa vie...
On est passé à côté du gramme
Il avait commencé par se peser tous les jours, puis plusieurs fois par jour, au lever, avant et...
Biodiversité
De nombreuses lectrices nous ayant demandé ce que pouvait bien produire l’alliance* de la carpe...
75e anniversaire
OTAN SUSPENDS TON VOL Victime du Biden bashing, le président des États-Unis se prend une...
Triplé français
C’est sous haute surveillance qu’a eu lieu hier soir la première épreuve des Jeux de Paris...
Mal-chevelus : l’espoir renaît (2e partie)
Deuxième partie de l'entretien avec le capilliculteur paysagiste Horace Grays, dont les créations décoiffantes avaient attiré notre attention. Il y revient sur son itinéraire et les dessous de sa profession.
Arme blanche et misère noire
“Il sort un plus gros couteau que son agresseur.” D’abord, admirons de ce titre la belle économie de moyens : en quelques mots, nous avons le champ et le contrechamp, le pile et le face ainsi que la monnaie de la pièce. Il est question ici de l’attaque d’une petite épicerie de Fall River dans le Massachusetts, avec défense héroïque de son propriétaire machette en main et fuite piteuse de l’agresseur armé d’un poignard juste un peu plus petit. Et interrogeons-nous sur la scène elle-même, où se trouve résumée toute la misère du monde occidental. (Lire la suite)
Voilà
Le soir du premier tour, arrivé en tête, il a dit : « Voilà. » Deux fois. Qu'a-t-il voulu dire par là ? Pour mieux comprendre, essayons de traduire. Oui mais comment traduire « voilà », ce « verbe défectif réduit à la forme unipersonnelle du présent de l'indicatif de l'aspect inaccompli », qui semble vouloir dire pas mal de choses et leur contraire ? (Lire l'article)
Légion d’Honneur, la fin de la polémique ?
Une solution a enfin été trouvée qui semble satisfaire toutes les parties. Nicolas Sarkozy...
Perpétuité (conclave, 9)
18h08. Le pape vient d’être élu à perpétuité. Sa peine incompressible ne pourra en aucun cas...
Conclave de souche
Léon 14 étant à présent assis sur son Saint Siège, nous allons pouvoir enfin nous...
19
Ici le temps change, la pluie s'est arrêtée et on annonce moins dix pour la fin de la semaine… Ces extrêmes variations caractérisent l'humeur américaine… (Lire l'article)
Autoportrait au revolver
“Il se fait un selfie avec un revolver et se tue accidentellement.” Ce n’est pas que cet homme ait pris son revolver pour un smartphone. Non, il avait le premier dans une main et le second dans l’autre, les deux braqués sur sa tête. Il a déclenché les deux simultanément, ignorant que l’arme était chargée. Résultat : un mort et une photo pas terrible. Cette mauvaise plaisanterie a eu lieu aux États-Unis, dans l’État de Washington, et ce n’était pas la première du genre puisque, quelques mois plus tôt, un jeune Texan s’était tué de la même manière. L’autoportrait mortel n’est cependant pas une spécialité américaine mais indienne. Le Washington Post nous apprend en effet que c’est en Inde que l’on se tue le plus en se photographiant. (Lire l'article)












