- Tous les articles
- 2017 Année terrible
- Brèves pour musiciens-parlants
- Chanson de gestes
- Choses revues
- Chroniques avéryennes
- Chroniques du Mobilhome
- Chroniques scarlattiennes
- Courrier du corps
- Degré zéro
- délib'euro
- Diogène en banlieue
- Footbologies
- Insultologie appliquée
- Je me tais et je vais vous dire pourquoi
- L'Amérique de...
- La branloire pérenne
- Le coin des traîtres
- Le nombre imaginaire
- Mot à mot
- Ordonnances littéraires
- Portraits de voix lyriques
- Sciences du fait-divers
- Signes précurseurs de la fin du monde
Info Trafic RER Ligne B
La circulation est interrompue pour une durée indéterminée entre Bourg-la-Reine et...
Des fessées qui se perdent
Plutôt que des missiles qui frappent de plein fouet, pourquoi ne pas en rester au fouet? Et...
J21 – Le secret des dieux
Le football est partout. Matchs en direct, en différé, comptes-rendus : les images du ballon rond saturent la vidéosphère, sans parler des discours infinis qu’elles suscitent. L’imagerie du football imprègne notre imaginaire collectif : les footballeurs sont des icônes, ils deviennent acteurs de publicités, mannequins pour de grandes marques, ils nous envahissent. Conséquence : le supporteur n’ignore rien d’eux. Le football, c’est le triomphe de la société du spectacle, du tout-à-voir. Et pourtant, au cœur de cette exhibition constante survit l’étrange concept de “secret du vestiaire”. (Lire l'article)
Élysée
“La première étape qui doit conduire les Français à l’Élysée est franchie.” Que veut donc dire cette phrase prononcée par Marine Le Pen au soir du premier tour de l'élection présidentielle française ? Pour essayer de la comprendre, cherchons à savoir comment elle a été traduite. Mais dans la traduction anglaise qui circule sur les site d'information en ligne, elle a été omise. En espagnol, la traduction mot à mot ne nous rassure guère... (Lire l'article)
Légion d’Honneur, la fin de la polémique ?
Une solution a enfin été trouvée qui semble satisfaire toutes les parties. Nicolas Sarkozy...
Mayra Santos-Febres pour les sorcières
L'époque marque le grand retour des sorcières. Elles sont partout, aux États-Unis comme en France, sur la scène politique, sociale et littéraire. Mais leur récent retour en force ne leur épargne pas certains tourments. Elles souffrent en effet d'un dramatique problème de discontinuité. Pour elles, donc, le Dr P. prescrit cette semaine La Maîtresse de Carlos Gardel de Mayra Santos-Febres, paru chez Zulma, traduit de l'espagnol (Porto Rico) par François-Michel Durazzo. (Lire l'article)
Football: une révolution rondement menée
Nous pouvons annoncer en exclusivité mondiale ce qui sera sans doute LA grande innovation de la...
[scoop] Fugue américaine
SCOOP EXCLUSIVITÉ LE PINARISE Fugue américaine, le roman de Bruno Lemaire aurait été...
Sur le gril
À quatre jours de la cérémonie d’ouverture la ville de Paris est sur le pied de guerre et les...
Le style et la structure
Avec Scarlatti, les musicologues disposent d'un cas d'école : ce Napolitain vivant à Lisbonne puis à Madrid n'a cessé de mélanger les styles — italien et espagnol, mais aussi les goûts français et allemand — comme il a joyeusement mélangé les motifs musicaux de ses sonates. Démêler les styles et les structures imbriqués dans les sonates est le secret du bonheur scarlattien, mais l'éducation musicale, par tradition, ne met l'accent que sur le style. C'est dommage, car c'est réducteur. Prenez par exemple un prestigieux pianiste, chef d'orchestre et grand scarlattien, Christian Zacharias. Prenez ensuite une sonate au hasard, la 193 par exemple, et demandez-lui ce qu'il entend. (Lire l'article)
Martin Veyron, pour les obsédés du parpaing
Ce conseil est pour toi, le promoteur, l’homme pressé, l’obsédé du parpaing, de la bétonnière, de la brique alvéolaire. Lis, s’il te plaît, cette très belle BD de Martin Veyron, Ce qu’il faut de terre à l’homme (Dargaud), adaptée de la nouvelle de Léon Tolstoï, parue en 1886. Indémodable. Édifiante, crois-moi. “Si seulement j’avais plus de terre”, c’est le leitmotiv qui obsède, tout comme toi, Pacôme, ce paysan et père de famille. Nous sommes à la fin du XIXe siècle en Sibérie, et si la vie est un labeur harassant, elle lui sourit pourtant. Les efforts payent, la réussite et le gain le grisent, justifient trahisons et fuites en avant jusqu'à l'absurde. Plus dure sera la chute. (Lire l'article)
Une disparition qui laisse un froid
D’après ses anciens amis, c’est dès l’adolescence qu’il aurait développé sa passion pour les...
Arnaud Friedmann pour madame Nicole B., agent comptable d’une université française
Ils résistent, ils résistent, les personnages d’Arnaud Friedmann, et il leur faut pour cela une foi hors du commun, celle peut-être que vous n’avez plus, madame Nicole B., pour écrire des épître aussi incompréhensibles, ravagées de fautes et de bêtise. Lisez donc La Vie secrète du fonctionnaire, d’Arnaud Friedmann (JC Lattès). (Lire l'article)
La cuisine minceur en deuil
Le grand chef Michel Guérard est parti rejoindre ses 3 étoiles. Les gastronomes en ont gros sur...
Guerre civile
Ce soir, Victor Hugo est de sortie. Petit nuage dodu de cendres, vapeur de défunt, brume de génie, il s’est glissé hors de son caveau pour aller voleter dans l’air humide de la crypte du Panthéon à la recherche d’un camarade à qui parler. Passant devant le cercueil de pierre où sont allongés les restes de Jean Jaurès, le poète entend ce dernier l’interpeller : “Salut mon vieux Victor. Nom de Dieu, as-tu lu l’interview d’Alain Juppé dans le Monde il y a quelques jours ?” Hugo : “Bonsoir, Jean. Non, je ne l’ai pas lue, je ne reçois plus la presse. On parlait de moi ?” (Lire l'article)













