Le chaland de Venise
par Gilles Walusinski
Venise, 1978. La SNCF proposait encore d’arriver à Venise après une nuit en couchette. La prétention du photographe de n’être pas le touriste qu’il raille, de chercher à voir Venise et les Vénitiens qui y vivent – encore – l’accompagnait dans les ruelles, les calle et les canaux, loin des circuits obligés. Une lourde sacoche protégeait les deux Leica, sciait l’épaule gauche tandis que la main droite tentait d’attraper l’instant décisif…