La revue culturelle critique qui fait des choix délibérés
Tenir lâcher tenir lâcher tenir
ce qui paraît la nuit déparaît au matin
on vient au monde entre des mains inconnues aux doigts imaginaires mais longs et fins qui tirent la possibilité d’un fil et qui sait d’une toile et cependant déjà l’on reçoit l’hospitalité fameuse de l’oubli