
Pire encore, dans les prolongations, ce but portugais venu de nulle part qui scelle l’injuste destin du match.
Qu’a fait le Portugal pour mériter de soulever la coupe ?
Rien.
Ce qui confirme ma théorie que Dieu n’existe que de temps en temps, et que les rares fois où il existe, c’est pour récompenser l’injustice, la médiocrité et le conservatisme.
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